Le casier s’ouvrit d’un coup sec, son métal grinçant dans l’obscurité.
Tous sursautèrent, certains retenant un cri.
À l’intérieur, il n’y avait pas de corps, pas de monstre, mais quelque chose de plus étrange : un vieux cahier, noirci par l’humidité et couvert de poussière.
Tsubasa
(soufflant) Sérieux… on s’est fait peur pour ça ?
Mei
(hésitante) Attends… regarde bien.
Hana s’approcha, leva la lampe de son téléphone. Sur la couverture, des mots étaient gravés au couteau : NE PAS OUVRIR.
Le silence s’épaissit.
Ayumi Sora
(murmurant) Pourquoi quelqu’un écrirait ça… puis le cacherait ici ?
Riku Sora
(fixant l’objet) Il y a qu’une seule façon de le savoir.
Il tendit la main. Le métal du casier vibra légèrement, comme si quelque chose retenait le cahier à l’intérieur.
La lampe de Tsubasa clignota de nouveau, l’ombre de leurs silhouettes dansant contre les murs.
Voix lointaine — « …vous n’auriez pas dû venir… »
Ayumi blêmit, la gorge serrée.
Ayumi Sora
(pensée) C’est trop tard… On a ouvert une porte qu’on ne pourra plus refermer.
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