Épisode 5

Angello : Tu peux partir (Je dois réparer ce gâchis, je sais que je dois faire tout mon possible pour que ma regina se sente à l'aise avec moi, je suis allé dans notre chambre et elle était déjà allongée, je me suis couché doucement)

Alana : Monsieur, que faites-vous ? (Cet homme ne connaît pas le danger qu'il court à côté de moi)

Angello : Reste tranquille ou je ne serai pas responsable de moi-même, et habitue-toi, j'aime dormir comme ça.

Alana : Sur... sur mes seins (Trop de tentation, que vais-je faire si je perds le contrôle ?)

Angello : Oui, sur tes seins magnifiques et doux, ils sont confortables, maintenant dors (Oh oui, j'ai déjà trouvé mon endroit préféré et c'est d'avoir ma tête sur cet oreiller délicieux).

Alana : (Je dois trouver un moyen de lui dire ce que je suis et cette autre chose, la femme de M. René m'a expliqué un peu l'intimité entre les couples, je ne pense juste pas qu'Angello veuille être avec moi de cette façon, mais le voilà qui dort comme un bébé sur moi et ça peut être dangereux pour nous deux)

LE LENDEMAIN MATIN

Angello : Ma regina, lève-toi, aujourd'hui notre journée est chargée, nous devons installer ton lieu de travail et je veux te donner quelques idées pour de nouveaux modèles (Je ne connais rien à la mode, mais ma femme si et elle peut concevoir des vêtements de mon monde, surtout des sous-vêtements, à cette époque ils utilisent d'horribles jupons comme sous-vêtements et c'est mal, de cette façon je ne pourrai pas profiter de la vue de ma précieuse Alana, j'irai petit à petit avec elle jusqu'à ce qu'elle soit complètement à moi, c'est difficile mais je vais essayer de ne pas la manger si vite)

Alana : Bonjour (Nous prenons le petit déjeuner en bavardant, Angello me donne confiance et j'ai l'impression de pouvoir être complètement moi-même avec lui, je n'ai toujours pas eu le temps de parler à Zamara et de lui demander de m'aider à trouver une solution. Nous arrivons dans la pièce qu'il veut aménager et elle est grande, c'est parfait pour installer l'atelier de couture, quand tout était prêt)

Angello : Précieuse, regarde, assieds-toi, je ne suis pas doué pour le dessin, mais toi oui et je veux quelque chose comme ça.

Alana : Qu'est-ce que c'est ?

Angello : Des sous-vêtements pour nous deux, j'adorerais te voir dans quelque chose comme ça.

Alana : Quoi !! Ça ne couvre rien.

Angello : Bien sûr que si, et ce sera quelque chose de révolutionnaire, et je suis sûr que les femmes voudront l'acheter.

Alana : Je n'en suis pas sûre.

Angello : Dessine-les d'abord et ensuite on en reparlera, d'accord ?

Alana : D'accord, je vais commencer tout de suite.

Angello : Où est ma femme ?

René : Elle n'a pas quitté l'atelier, elle y a même déjeuné.

Angello : Je comprends.

Toc toc

Angello : Précieuse, il est temps de se reposer, viens ici.

Alana : (Comment se fait-il que cet homme me porte comme si j'étais une plume) Excellence, posez-moi, que faites-vous ?

Angello : J'adore cette pose alors arrête de bouger.

Alana : Tu... tou...ches... mes fe..sses

Angello : Parce qu'elles sont à moi, je suis le seul à avoir le droit de les toucher, tu comprends ?

Alana : À toi ? (HA, s'il savait que c'est l'inverse, c'est lui qui est à moi)

Angello : C'est vrai, depuis que tu es devenue ma femme, tu m'appartiens corps et âme.

Alana : Mais...

Angello : Habitude-toi d'abord à moi, j'aime beaucoup toucher, quand j'aime vraiment quelque chose, je ne peux pas m'empêcher d'être affectueux et sentimental et crois-moi quand je te dis que je suis assez fou de toi.

Alana : (Mon visage doit être un poème en ce moment, personne ne m'avait jamais dit ça avant, comment quelqu'un comme lui peut-il m'aimer et en si peu de temps) Je...

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