Amour Raciste
Assis dans sa jerari, les bras sur le volant, Henry Mckraven se redresse soupirant à sa dure journée de travail. Il savait qu'il devait assister à un défilé demain et qu'il devait le préparer au plus vite une fois entrée dans son manoir. On lui avait obligé voir même forcé la main pour y participer alors que le jour qui suivra, il a une campagne à mener contre les noirs, soit le Dimanche. En gros c'est comme s'il n'avait pas un jour de congé.
Sa tension grimpe quand une voiture noir le devis ...Tsss moi je suis trop lent c'est ça ? Connard! se dit-il.
- Parce que oui les tenues que Feline a confectionné sont de plus tendance et ce moment et leur taux de [...] entame le directeur adjoint.
- Demain, je participerai au défilé de briller en été de cette marque. La semaine qui suivra sera notre heure de gloire, mesdames et messieurs. Passer une bonne nuit ceci est la fin de la réunion. Dit Mr Mckraven, le PDG de Mckraven industrie.
Il éteint son PC et s'étire en réfléchissant à sa tenu. Peut-être devrait il appeler sa styliste ? Non. C'est peut-être une mauvaise idée. Il se fait tard et il ne voudrait pas déranger sa vie de couple pour un pauvre homme Célibataire depuis ses 30 ans d'existence que lui. Et puis zut... Un homme PDG d'une grande marque classé 3e du pays doit bien savoir porté sa propre marque et se tenir devant un public.
Devant sa salle de bain, il prend sa brosse à dents, prêt à la mettre en bouche pour son soin dentaire habituel quand son téléphone dans la poche de son pyjama évasé se mets à vibrer au rythme de la mélodie.
Aussitôt, comme s’il en savait d’avantage sur cet appel en plein 10h du soir, soupir longuement. Il s’agit de cet ami encore accro de ses fesses d’hollywoodien, le pygophile en personne, Denis Rosewood.
Cet ami mesquin qu’il connaît depuis sa tendre enfance l’appelle, et ça ne présageait rien de bon pour notre PDG de l’industrie Mckraven.
- Yo man ça roule ?
- Désolé mec, j’ai un défilé demain. Je peux pas venir chez toi pour mater du porno
- Orh allez quoi ! Et puis… c’est pas ça…
- Alors quoi ? Tu t’inquiète pour moi alors tu m’invites à un bar pour me distraire ?
- …
- Rosewood… t’es pas devant ma salle de bain quand même …?
- Henry, c’est pour ton bien. Sinon tu vas finir rouillé. Dit il les pieds déjà dans la salle de bain de son meilleur ami et en raccrochant par la suite son téléphone…
Doucement Henry se tourne devant son ami. Il se demandait ce qu’il allait faire de lui. Demain, il avait un défilé de la plus haute importance et Denis, lui n’est là que pour s’amuser… enfin…
- Mec, c’est mon jour de congé et je veux en profiter… s’il te plaît 🥺
- En tant qu’acteur très prisé et très demander sur toute plateforme, tu veux pas prendre ce jour de repos pour te reposer mais tu veux faire la fête toute la nuit avec des nana ?
- Oui Sherlock.
Henry dépose sa brosse à dent et retire la claquette de son pied gauche avant de la lancer en direction de son pote.
- t’es putain de chiant. J’en est marre de toi. Et puis putain j’ai un défilé demain…
- Je t’aime… mais je suis pas homo désolé.
Rapidement, Henry se change et se dirige devant une autre de ses voitures, sa GMW
Dernier cris modèle noir. Il se sentait coupable d’aller à une soirée dont il n’a pas envie, mais qui a été jugé très médicinale par son meilleur ami. D’ailleurs, qu’est ce qu’il ne ferai pas pour lui… il représente tellement pour lui, on ne saurai qualifier ça d’amitié forte. Mais l’un des point que selon lui, son ami doit changer est son amour pour toutes les personnes sur terre, y compris les noirs. Mr Rosewood savait que son ami ratait quelque chose. Mais après tout c’était à sa famille d’en vouloir ; c’est à cause d’elle que Henry éprouve une haine sans merci aux noirs peut importe leur origine. Tant que c’est de la peau de couleur, sa haine y restera pour toujours…
- Dit mec, t’as toujours ta phobie des peau de couleur ?
- C’est pas une phobie, et baisse un peu la musique, je veux pas me faire arrêter Dénis.
- Ah je vois. Pourquoi tu ne songes pas à de mettre dos à la famille et accepter toute race humain ? Dit il les doigts ébouriffant ses cheveux d’un noir perçant.
- Et bien ces fils de pute sont responsables de plusieurs incidents au sain de ma lignée alors j’ai de quoi en vouloir à ces chiens de mes-
- Promets moi que tu te changeras les idées. Ils sont pas tous pareil tu ne crois pas ?
- …
Le trajet fut long mais ils finissent par arriver à destination ; dans une boîte de nuit très réputée pour son ambiance unique, le fait qu’il soit perdu au milieu du nul part, des DJ très talentueux y font sensation même dehors la musique se faisait entendre ce qui transportait déjà Denis qui sortit de la voiture en lâchant quelques pas danses étouffées en essayant d'entraîner Henry dans son inspiration.
- Hey Henry écoute ça c'est très entraînant, quelle musique de Ouf ! Viens on entre.
Henry pas très emballé poussa un léger soupir et hocha la tête pour faire signe d'approbation et ils finissent par entrer...
Denis s'avance vers le comptoir du barman
- Yo Jack ! Bien le bonsoir comment ça va ?
- Très bien Mr Rosewood... je fais comme d'habitude...
- Bien sûr et pour mon ami comme il est nouveau et un peu exigeant... non très exigeant, servez lui ce que vous avez de plus cher et […]
Henry laisse parler son ami. Peut importe ce qu’il lui servirait, il allait le boire sans la moindre hésitation. Après tout, il est venu ici pour son ami et pour sa santé en quelques sortes ; et surtout parce qu’il a une confiance aveugle à Denis.
- Voila pour toi chic monsieur ! Un petit cul sec de rien du tout.
- Quel est le taux d’alcool dans ce truc là ?
- Allez soit pas rabat-joie et prends ! Ça fait 2 ans que tu bois plus Henry.
- Bon et bien quand il faut y aller…
D’un coup sec, Henry avale la boisson supposée bonne pour lui par son ami. Et l’instant d’après, comme si des fourmis lui montaient au pied et se leva d’un bond allant tout droit vers la piste de danse ; là où la foule se fait de plus en plus dense.
Il se dandine, se frotte à n’importe qui ou à n’importe quoi. Dans la salle peu lumineuses, la boule de disco 🪩 tournoie sans fin, reflétant ses rayons sur le visage adoucit de Mr Mckraven.
- Pensez vous que c’est une bonne idée de laisser votre ami seul sur la piste de danse ?
- Ne vous inquiétez pas Jack. Il va gérer ! C’est mon pote après tout !
Henry Mckraven était chaud. Pratiquement bouillant. Il se coince entre des filles par ci par là quand l’une d’entre elle attire son regard. Il est resté là à ne plus bouger, admiratif à la beauté mirifique et irritante de la meuf. Jamais il n’avait vu un corps aussi parfaitement perdu dans la pénombre. Jamais il ne pouvait croire que ce genre de femme existe. Encore moins de cette façon.
Le temps semble s’arrêter pour leur permettre à tout les deux de se regarder intensément. Elle était sublime, quasi l’être la plus parfaite qui soit. Son corps semblait appeler Henry de très loin. Comme un pôle Nord et un pôle Sud, deux vrai aimant.
Doucement, ils s’approchent, se parlent avec les yeux. Puis, dans la fougue et dans l’ambiance chaude, ils s’embrassent langoureusement, se tenant chacun la nuque.
Il ne pouvait se contenir une seconde de plus. Ils allaient tout les deux dans la pièce la plus étroite : les toilettes. Et pour femme en plus. Car contrairement aux hommes, elles sont dotées portes liées les unes au autres. Il la touche, la déshabille, la chavire. Il n’avait jamais vu un être aussi parfait de toute son existence. Même s’il a affirmé de sa propre bouche qu’il les hait, cette femme 👩🏾, était sienne.
Pour combien de temps ?
Il ne saura l’expliquer. Il veut d’elle et c’est ce qui l’importe.
Doucement, il dégage son engins de son boxer, bien trop serré depuis un certain temps, avant de l’enfoncer avec violence à l’intérieur de l’ébène.
Son cri était fort, très surprise de la taille, de l’épaisseur et de la vitesse à laquelle il est aller. <
Il n’en avait rien à foutre des préliminaires ou des petites bêtises. Il ne voulait que l’embrasser et la ****** . Elle gémi et encore et encore et lui, il ne pouvais que soupirer de plaisir.
Quelqu’un entra dans la pièce. Deux individus non identifiés pour être précis.
- Les clopes que servent Jennifer sont une tuerie meuf !
- Je te le fais pas dire. D’ailleurs tu sais, la nana en afro teint ébène qu’on a vu, je devais me la faire tu ne l’as pas vu ?
- … c’est pas tes affaires grosse pute je l’ai vu d’abord.
- Pufff elle se collait trop à un beau gosse de mes deux abandonne.
Elles sortent ensuite.
La belle femme noir ne pu s’empêcher d’avoir un rire étouffé. Son rire des plus moqueur, attire l’attention d’Henry qui s’était retiré depuis un moment d’elle.
Il eut enfin, leur première conversation après.
- c’est quoi votre nom ? Demande t-elle à moitié à poil dans sa robe moulant relevé jusqu’au clavicules, sur sa poitrine.
Assis sur la lunette des toilettes, Mckraven lui tient convenablement les fesses tout en inhalant dans le cou de cette dernière. Ses mains est ferment, ne voulant point la lâcher. Comme si c’était sa dernière nuit. Il s’empresse de passer à nouveau à l’action mais il se souvient que le jour d’après était un jour important. Il n’avait la tête que pour le défilé ou la fille qu’il rêve encore de *****. Mais le choix s’est vite fait.
- Désolé mademoiselle je dois… putain.. y aller.
- Allez, m’sieur. Bordel… encore un tout petit peu.. dit-elle toujours assise sur lui et sa machine de guerre.
- Non je vais semer… j’me retire
- Ba t’as qu’à-
Quelqu’un entre encore. Et le plus dure était de garder le silence pendant qu’il jouit en elle. Lui aussi était atteint. Ça dégouline de partout et elle, continu de lui procurer ce malin plaisir de faire des vas et viens avec sa froufroune. L’individu entrer sort aussitôt.
- Écoute, je vois pas un avenir avec toi, c’est juste-
- Alors me prend pas comme ta pute et dis moi ton putain de nom fils de pute
- Henry et toi ?
- Joannas. Ça été un plaisir. Dit-elle se relevant doucement prête à aller hors de la cabine.
- Pas si vite. Lui dit Henry en tenant fermement son sein à l’air. Il continue. Ça doit rester secret, pas un mot à qui que ce soit. C’est claire ?
- Aïe tu me fais mal. Je tiens aussi à ma réputation.
Il se redresse à son tour et l’embrasse langoureusement la main toujours dans sa poitrine.
- tourne toi.
- Pourquoi faire ?
- Te faire jouir.
Il enfonce 3 doigts dans ses entrailles. Et élargi sans attendre son consentement.
La nuit fut longue et mouvementée mais maintenant le travail l'attends comme le temps.
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