Chapitre I

[ On n’est pas sérieux quand on a 17 ans

On fait des promesses qu’on oublie souvent,

On dit “j’ai le temps” sans trop y croire,

Et on espère que le monde attend.

On révise tard, les yeux cernés de doutes,

Le bac approche comme une fin de route.

On rêve d’ailleurs, d’amphis, de départs,

Mais on serre les poings, on cache le cafard.

Presque adultes, presque prêts, presque tout,

Mais à l’intérieur, parfois, c’est flou.

Et si je n’étais pas à la hauteur ?

Et si je décevais, malgré tous mes efforts ?

Les parents regardent, fiers et silencieux,

Ils disent “on croit en toi”, des étoiles dans les yeux.

Alors je souris, je fais comme si j’étais sûr,

Mais j’ai peur de tomber avant l’ouverture.

Les amis partent, les chemins se brisent,

Chacun son rêve, sa ville, sa devise.

On dit “on se reverra”, le cœur un peu serré,

Comme si grandir, c’était apprendre à quitter.

Et pourtant, je cours, même sans bien savoir,

Vers un demain peint de hasards et d’espoirs.

Je danse un peu, j’aime fort, je mens parfois,

Je vis trop vite, et je ne m’excuse pas.

Car c’est l’âge où l’on joue à devenir grands,

Le cœur fragile sous des airs insolents,

Où l’on croit que tout est encore possible —

Mais bon, on est pas sérieux quand on a 17 ans ]

Apres avec ecrit ces quelques mot j'ai déposé mon stylo un peut septique de ce poème, trop personnelle pour le récité devant la class, mais d'une certaine manière, j'avais envie de ça, de me jeté a l'eau, de pofiné mon art oratoire avec ce poème qui reflète ce que je ressent en cette dernier année au lycée...

Un peut trop courte, trop breve, les enrevoir arrive plus vite que prevue et de jour en jours on s'éloigne de plus en plus de ce jours où tout a commencé, on s'éloigne de plus en plus de cette presentation maladroit en debut d'année de second. Plus j'y repense moin j'ai honte, plus j'y réponse et plus j'aimerais remonter le temps et tout recommencer. Nous ne somme qu'en Janvier et j'ai l'impression que l'année est déjà bientôt Terminé. La semaine prochaine deja parcoursup. "Qu'est ce que ça passe vite " je marmone en relisant mon poeme encore une fois.

Au finale ce poeme me reflet bien, enfin ca je pense je l'ai deja répéter et plus je le lis moins je suis spetique a l'idée de le lire en face de la classe.

Je ferme mon cahier de philo (car bien sûre ce poeme est un devoir de philo sur une des notions étudié en class. Moi j'ai choisis le temps et j'espere que ça rentre dans le theme. La prof etant super exigeante peut-être elle va trouvé que j'évoque pas assez le temps, mais bon je trouve que c'est correcte

Je me lève de mon bureau et sort de ma chambre, il n'y avait pas vraiment de bruit en bas, pas le bruit des chamaillé de mes petit frere pas de pleure de ma petite soeur. Il etait partie en ville, acheté des chose, je ne siis pas allé avec eux, j'étais un peut fatigué apres les cours et je me suis endormi et c'est apres m'être réveillé que j'ai fait mes devoir.

Je me suis assise sur le canapé et pris la telecomande, vue que mes petit frere ne sont pas la je peut regarder la télé tranquillement

Apres un moment la sonnerie me sort de ma concentration sur ma série. Je me lève et regarde par l'ouillet de la porte, je vois un gars que je ne connais pas et que je n'avais jamais vue. Il ne faut pas ouvrit la porte aux inconnue mais il m'as l'ai un peut perdu le mec derriere...

Au final j'ai pris la clé et j'ai ouvert la porte. Le mec en question me regarde d'abord étonné puis il me tend la main avec un sourir "Bonjour je vien d'emménager dans la maison d'a côté, " je jeté un coup d'œil a la maison et effectivement des carton sont sur le porche, des déménageur sont présents. Je repose mes yeux sur lui et sa main était toujour tendu vers moi. Je sort de mes pensées et oui sert la main.

"Ah... je me disait bien que y'avais beaucoupde bruit dehors" lui dis-je en lui rendant son sourire. Durant un bon moment on a fait que ce regardé dans les yeux 'ça commence a devenir genant la'. Je lache sa main avec un rire nerveux. "Bah moi cest Aurna, ravie de faire ta connaissance..." Il passe sa main derrière son cou "Moi cest Dyclan." Apres ca il y a eu un long silence inconfortable. " Enfin bref je devrais peut être y allé, cetait cool en tout cas... de faire ta connaissance. A plus " il dit avant de partir.

Je ferme la porte et repart m'assoir devant la télé. C'était un peut bizarre je dois l'avouer comme interaction, aucun de nous n'avais l'aire confortable. Il a l'aire d'avoir mon âge j'espère on s'entendra bien en tant que voisin 

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