chapitre 4

Elle était non seulement en rage, mais aussi triste, puis elle se retourna et me regarda en disant :

- Toi tu oses me regarde avec pitié qui t'a ordonné de faire ça devant, je n'ai pas besoin qu'on me regarde avec pitié, es ce que c'est compris. Tout en disant ça, elle me tira les cheveux, me donna des coups de pieds au ventre et tapait ma tête au mur. Mon corps me fessait tellement et je saignais beaucoup et je m'évanouis quand je me suis réveillé j'étais dans un cachot et mes blessures s'était même aggravé alors j'entendis des pas et c'était estrella qui se tenait devant moi :

- Comme tu aimes regarder les gens avec pitié, regarde-toi aussi, tu ne mangeras pas pendant une semaine et tu ne boiras non plus. Tout ça parce que je l'ai regardé durant qu'elle était en colère, vraiment elle ne m'a pas dans la peau vraiment.

Finalement j'ai passé une semaine sans manger ni boire et je repris le service une fois sortir du cachot et les servantes et servants me méprisaient et ne m'approchaient plus estrella a dit que je n'avais plus le droit de me laver dons je sentais et aussi on me foutait tous les soirs pour toutes erreurs que j'ai faites dans la journée, ainsi dura mon enfer pendant dix mois. Et ce jour-là, je ne pouvais plus supporter, tout a commencé quand elle m'a dit que je devais aller dans une maison en bas de la foret, elle m'a dit de demander un homme qui s'appelle Carlos, de lui dire que "le loup est dans la fosse" et comme une bête je suis parti. Arrivée je demandais qui s'appelle Carlos et je lui dis ce que estrella ma demande de dire et là quand je me retournai pour partir certains hommes bloque la porte alors je dis :

- Euh pourquoi personne ne me laisse sortir ?

* -Tu es vraiment stupide estrella s'est débarrassé de toi et on peut s'amuser.

* - Impossible !* Elle m'a dit de revenir.

- Ma pauvre, ce que estrella t'a dit de venir me dire était "fait ce que tu veux avec, je n'ai plus besoin de ses services**".*

Non, ce n'est pas possible, elle ne souhaite pas que ces hommes me violent quand même, avec toutes les souffrances que j'ai endurées pendant ces dix mois, je refuse de mourir et je réussis par m'enfuir par une des fenêtres :

- Rattrapez la ne la laissez pas s'échapper.**

Cour, cour, c'est ce que je me disais dans ma tête et j'arrivais au bout du chemin devant une falaise juste à cotes au pied d'un arbre je vis Afrocardis je veux dire sa majesté afrocardis.

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