(point de vu de l'enquête criminelle samedi 10 octobre)
L' inspectrice Sonia Beringham était déja présente sur les lieux du crime mais vu les circonstances et la gravité de la situation. Elle souhaitais l'aide d'un coéquipier. Elle décida de passer un coup de fil à la seul personne qui pourrait avoir un autre point de vue sur cette enquête.
* Bonjour Monsieur Hagebak. Je suis l'inspectrice Sonia Beringham. (Sonia)
* Oui ! J'ai entendu parler de vous, félicitations pour l'affaire Timothy Warren. (M.Hagebak)
* Cette affaire n'a pas était facile. Mais le principal s'est d'avoir retrouvé le petit sain et sauf. (Sonia)
* Et d'avoir mis derrière les barreaux un criminel. (M.Hagebak)
* Oui c'est sur. Aujourd'hui je suis sur une tout autre affaire. Et je vais surment avoir desoin d'un coup main. (Sonia)
* Oh !! Je vous écoute. (M.Hagebak)
* Samedi 3 octobre on a retrouvé une femme de Ashwell, elle a été sauvagement agressé le médecin légiste n'est pas formelle mais il pensait qu'il s'agirait d'un ours, le coup de la femme était désarticulé de son corps insi que ses deux bras. Dont plusieurs lacération sur le visage et le cou principalement. Le corps de la première victime à était retrouvé dans la rivière de Cam. Comme la seconde victime que l'on a retrouvé aujourd'hui au matin à Bottisham Lock un batelier a retrouvé le corps de la jeune fille atrocement mutilé je vous épargne les détails. (Sonia)
* Si s'est un animal il laisse des traces, il est possible de le pister. (M.Hagebak)
* On a des traces effectivement de l'aminal mais beaucoup plus loin où se pourrait les corps des victimes on pense que cette chose traîne ses victimes dans la rivière avant de l'ai abandonné. (Sonia)
* Cette chose ? (M.Hagebak)
* Les scientifiques biologiste n'arrive pas à se mettre d'accord sur ce point. Il sont persuadé qu'il s'agit d'un ours pour la force, pour le fait qu'il puisse facilement attaquer debout même le fait qu'il déplace les victimes dans l'eau. Mais les traces sur les lieux des agressions nous révèle être des empreinte de canidés. Nous avons essayé de le pister mais les traces disparaissent. L'hélicoptère à caméra infra rouge à survoler la région mais cela n'a rien donné. J'ai établie aussi une programme de surveillance par drone. Rien de fructueux, à vrais dire. (Sonia)
* Un peu tordue votre histoire. Il faut avoir si la deuxième victime vous révèle plus d'éléments. (M.Hagebak)
* À vrais je commence à me demander si l'animal appartient à quelqu'un et si cette personne ne prend pas du plaisir à le lâcher de en tant en tant en plein nature. À savoir qu'un ours sauvage devrait entrer en hibernation.
On a pu épargné les journalistes sur la première affaire mais demain on pourra retrouver ce problème sur la une des journaux.
Vous me semblez être le coéquipier sur le quel je peux conter.(Sonia)
Max Hagebak était connu pour des affaires impliquant des serial killer. Actuellement à la retraite. Mais ne refusait de donner un coup de main sur des affaires spéciales.
* Je vois, en vu des éléments actuels je vous serais d'aucune aide vous avait l'aire d'avoir les choses bien en main. Mais n'hésitez surtout pas à m'appeler en cas de problème. Je vous aiderait. (M.Hagebak)
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(point de vu d'un prédateur la nuit du samedi au dimanche)
Cette nuit Jared avait du mal à dormir, il bougeait durant son sommeil. Il décollait de son torse musclé le drap trempé de sueur. Le crie de sa mère lui hantait l'esprit. Il se remémorait les souvenirs choquant de son enfance. Son père prenait un malin plaisir à violenté sa mère. Dans son rêve il revivait une situation qu'il avait déjà connu, quand il était enfant.
Dans un placard de cuisine de son ancienne maison, la porte entre ouvert. Les cris de sa mère et la colère de son père résonnait dans toute la maison, il voyait sa mère se faire frapper par son père mais que d'un œil. Il fini par s'asseoir dans cette endroit exigu mit sa tête sur ses genoux entouré ses bras sur ses genoux. À ce moment il entendait toujours ça mère crié, supplier son père de se calmer mais ni changer. Jared espérait avoir le courage de trouvait le moyen pour que son père s' arrête. Quelque chose d'étrange s'était produit ce jours là. Son père avait cessé d'un coup comme ça, tout ses gestes, il s'était figé. Puis son père sortit sans dire un mot.
" Mais comment un enfant pourrait changer ça ?" Il se rappella les paroles d'un psychologue, qui avait connu adolescent.
" Mais comment un enfant pourrait changer ça ?" Ses paroles revenait en boucle. Comme un disque rayé.
Puis toujours dans son rêve sa mère il ouvert la porte. En disant et le prennent dans ses bras. "Il est partis, tu peux retourner jouer dehors dans le jardin."
Quand il passa la porte fenêtre, il était projeté dans un autre endroit dans une forêt â proximité d'une rivière, il courrait après un gibier. Se n'était pas un gibier comme les autres c'était une jeune femme blond. Puis elle est tombée sur la terre, il a bondit sur elle est la maltraité.
Il subit une nouvelle fois de plus un changement de décor brutal. Il était avec son père, il revivait la tout dernière fois que son père lui avait parlé "Jared, flis souvient toi que les lycans ne change pas seulement leur apparence, leur mental change aussi."
"Leur mental change aussi."
"Leur mental change aussi."
Jared se réveilla en sursaut. Dégoulinant de sueur.
Décida de prendre de l'antidote, puis une douche. Décidé à se rendormir, si il le pouvait.
Il se réveilla en début après midi, avec un mal de tête. Sur Jared mystérieusement le paracétamol n'avait aucun effet. Donc impossible de prendre cette initiative c'était peine perdue.
Pour éviter tout état de stress, il s'efforça à penser à autre chose. Que de vouloir à tout prie savourer de la viande cru. Il pensa sans faire exprès à Élise, aux cours de chimie de tout leurs travail en binôme sur la génétique. Puis il pensa à elle son sourire, ses cheveux, son odeur. À quand ils se croisaient, ... Il pris son oreiller se le mit sur la tête et cria dans l'oreiller pour évacuer sa rage et sa colère.
Quelqu'un frappa à sa porte. il était torse nu. Il se mit debout et dit : "Entré, s'est ouvert." Quelqu'un entra c'était Élise. Elle dit:
* Tu viens de te lever. (Élise)
Élise vit qu'il n'était pas entièrement habiller. À la vision de son torse nu, musclé la fit légèrement rougir mais elle était plutôt satisfaite de le voir dans cette tenu. Elle remarquai aussi une caractéristique de son épaule gauche juste à la hauteur de son pectoral gauche il y avait une légère tache de naissance qui descendait au centre de sa poitrine.
* Oui, j'ai eu un petit de mal à dormir. (Jared)
* Tu as mal dormis ? (Élise)
* Oui, (Jared)
* Je me suis permis de venir, parce que je n'arrivait pas à t'avoir au téléphone ce matin. J'aimerais réviser avec toi aujourd'hui est terminé deux ou trois trucs. C'est possible. (Élise)
* Oui bien sur, je m'habille et je mange un truc vite fait. On se rejoint à la bibliothèque vers... Il regarde son réveil il était 14h32 puis repris 15h. (Jared)
* OK parfait... à toute à l'heure. (Élise)
Quand elle ferma la porte des flaches de son cauchemar lui revient en tête, il courait après un fille blond qui tribucha sur la terre puis bondit sur elle, était il sortit de sa chambre. Avait il pu faire du mal à quelqu'un. Un goût étrange été présent dans sa bouche, le goût du sang.
Il rejoignit Élise à la bibliothèque, il restait assez silencieux, des échanges de temps en temps sur des avis sur tel ou tel cours.
* J'ai besoin d'une pause, mes neurones son en bouillies. (Élise)
Jared sourit on mange un morceau, moi j'ai faim.
* OK (Jared)
* Il y a un petit restaurant pas très loin qui propose des plats indiens. Si tu n'aime pas il y a aussi un restaurant chinois.
* Je choisis l'indiens. (Élise)
En marchant en direction du restaurant...
* Dit moi pourquoi tu avais du mal à dormir ? (Élise)
* Ça m'arrive de faire des rêves enfin des
terreurs nocturnes. Se n'ai pas un sujet que j'aimerais parler avec toi. (Jared)
* Jared !
* Oui ! C'est comme ça que je m'appelle. (Jared)
* Je me doute que ta vie m'a pas du être toujours facile mais refouler sans cesse des mauvais souvenirs ou des sentiments créé des angoisses, qui peuvent avoir des répercussions pendant ton sommeil. (Élise)
* Tu est donc aussi forte en psychologie. (Jared)
* Ma mère est décédé quand j'étais petite. (Élise)
Il était en train de marcher mais Jared s'arrêta en et retenu Élise aussitôt, en se rapprochant d'elle il mit sa main sur son visage puis dans ses cheveux de façon délicate, un peur de la casser lui traversa l'esprit, il se remémora qu'une partie de lui était abominable. Élise trouva sa main si chaude. Cela lui procurer un sentiment de bien être.
* On n'est pas obligé de se remémorait des souvenirs qui nous on fait du mal. (Jared)
* Jared, je te trouve si mélancolique. Tu me donne l'impression de souffrir perpétuellement. (Élise)
* Il y a un temps pour profiter de se que la vie nous offre. Je suis là avec toi. Je construit un souvenir qui sera le notre. C'est la première fois que l'on est ensemble... Seul tous les deux, et je n'envisage pas de t'expliquer mon passer. (Jared)
Jared se rendit conte que leur proximité ne tenait à quelques centimètres et si il ne réagisse pas cela serait sûrement leur premier baiser puis il continuait à expliquer à Élise. "Je suis désolé pour ta mère." Il posa son front contre son front. Ce qui n'ai pas anodin pour un lycan car ce geste symbolise un acte de soumission. Plus précisément c'est un dominant qui accepte être dominer par un plus faible par respect envers lui. Mais ça Jared l'ignorais. Il reprit en disant à Élise "Chaque choses en son temps Élise." Jared s'écarta.
Elle fût subjuguée par ses mains, oui mais pas que, elle aimait l'entendre prononcé son prénom. Elle aurait aimé qu'il continue à se rapprocher, jusqu'à sentir sa bouche contre ses lèvres. Mais Jared n'était pas prêt pour ça. C'était la première fois qui passait du temps avec une fille en tête à tête. Il voulait pas réveiller le prédateur qui sommeil en lui.
Arriver au restaurant Jared pris commande pour les plats.
* Tu viens ici souvent ? (Élise)
* Non pas vraiment. (Jared)
Après une mutation difficile son corps à toujours faim, sauf si pendant sa transmutation il arrivait à manger ses proies mais ça il me pouvait pas l'expliquer à Élise.
* Tu viens à la soirée d'halloween. (Élise)
* Je me suis pas décidé et toi ? (Jared)
* Oui, ça peut être sympa. (Élise)
Jared qu'est qui pourrait se passer se soir, à t'elle besoin que je veille sur elle. Rien que de penser à ce que lui à fait Logan le vendredi soir le rendait fou de rage. Pendant que ce souvenir lui traversa l'esprit son corps voulais déjà transmuter. Il cacha ses mains sur ses genoux sous la table. "Aller Jared ressaisis-toi, il y a rien de dangereux autour d'elle mis à part toi. Si tu transmute ici c'est toi qui sera un risque pour elle" Pensait Jared. Élise mangait tranquillement son plat.
* Tu ne mange pas. C'est délicieux. (Élise)
* Tu as vu Logan depuis ? Ce n'était peut être pas le meilleur sujet à aborder mais il voulait savoir. Devait il être vigilant ou devais t'il gardait Logan sous surveillance. (Jared)
* Oui ... il s'est excusé mais je n'aime pas comment dire ... ça personnalité. Il m'a expliqué qu'il prenait des trucs pour ça mémoire et que mélanger à l'alcool ça ne lui réussissait pas. C'est louche. (Élise)
D'après la réponse d'Élise, Jared décidé de garder Logan sous surveillance.
* Jared je peux me permettre de te poser une question assez personnelle sans que tu le prenne mal? (Élise)
Jared pensa toute suite que venant d'elle rien ne pouvait réellement être mal. Sauf si elle lui avoue qu'elle est tombé amoureuse d'un autre. Idée de la voir embrasser un autre type mit très mal à l'aise Jared qui devait encore un fois cacher ses mains elle était en court de transmutation. Quand il réentendu Élise ses main retrouvaire leur apparence normal.
* Beaucoup de personnes pense que tu est fauché...
Mais moi je ne le pense pas.
Sur ce sujet tu nous cache certaines choses.
(Élise)
* C'est grâce aux poker mais je préfère ne pas en parler à l'université. Je ne veux pas que ça salisse ma réputation d'élève presque parfait. Mais se n'est pas un revenu fixe. Donc ils ont pas forcément tort. (Jared)
Puis tout deux finir leurs repas à parler de ci et de ça. Quand ils eur fini, ils rentrèrent à l'université puis dans leur dortoirs respectifs.
...
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