Il y a des histoires qui se chuchotent…

et il y a celles qui incendient le monde.

Ceci n’est pas une romance fragile,

c’est une promesse de feu :

aimer ou brûler.

Chaque rencontre sera une étincelle,

chaque silence une braise,

chaque baiser une déflagration.

Ici, l’amour n’est pas tendre,

il est vital, brutal, absolu.

Deux cœurs suffisent à allumer une révolution.

Deux âmes suffisent à défier l’univers.

Et toi, lecteur, sache-le :

tu ne liras pas un simple manga…

tu tiendras entre tes mains un brasier.

Alors retiens ce titre, grave-le dans ta mémoire,

parce qu’à partir d’aujourd’hui,

tu n’as plus le choix :

c’est aimer… ou brûler.

La nuit pleurait sur la ville.

Un rideau de pluie tombait sur les ruelles désertes, lavant le sang et les souvenirs.

Parmi les ombres, Eïden avançait, capuche relevée, regard vide.

Ses bottes claquaient contre le bitume, rythme lent d’un cœur qui refuse encore d’admettre la perte.

Chaque pas ramenait un écho du passé :

le rire d’une fille, les promesses murmurées au clair de lune,

et ce parfum — doux, presque cruel — celui de Lina.

> « Si un jour tu pars, je brûlerai le monde pour te retrouver. »

Il l’avait dit.

Il l’avait juré.

Et aujourd’hui, il en payait le prix.

Le feu couvait dans ses paumes, un feu vivant, indomptable.

C’était son don.

C’était aussi sa malédiction.

Depuis qu’elle était partie, la flamme ne répondait plus à sa volonté.

Elle le dévorait, lentement, comme un cœur qu’on rôtit de l’intérieur.

Il s’arrêta devant une vitrine brisée : le café Aimer ou Brûler.

Le néon rouge clignotait encore, tel un battement de cœur à l’agonie.

C’était là qu’ils s’étaient rencontrés.

Lina y travaillait après les cours, et lui venait juste pour la voir sourire.

Le feu avait commencé là — pas dans ses mains, mais dans ses yeux.

> « Tu veux savoir le secret du café parfait ? »

Elle avait ri.

« C’est simple : faut le brûler juste assez pour qu’il ait du caractère. »

Ce jour-là, Eïden avait compris que certaines brûlures étaient belles.

Mais aujourd’hui, tout ce qu’il restait, c’était la cendre.

Le tonnerre gronda.

La flamme jaillit, incontrôlable, illuminant ses yeux d’un éclat fiévreux.

Il tomba à genoux, haletant, ses doigts carbonisant le sol.

La pluie n’y faisait rien. Rien ne pouvait éteindre la douleur.

— Tu ressens encore, hein ?

Une voix froide, derrière lui.

Une silhouette sortit de l’ombre : manteau noir, regard d’acier.

Un homme qu’Eïden connaissait sans l’avoir jamais vu.

— Qui t’es ?

— Moi ? Un simple messager. Je viens t’offrir un choix.

— Un choix ?

L’inconnu tendit une main gantée.

Une flamme noire y dansait, silencieuse.

— Aimer… ou Brûler.

Eïden leva les yeux.

La pluie s’était arrêtée.

Son reflet tremblait dans la flaque à ses pieds — mi-homme, mi-incendie.

> « Si aimer, c’est souffrir… alors laisse-moi brûler. »

Il serra le poing.

Le feu s’embrasa autour de lui, éclairant la nuit.

Et dans ce brasier, un cri s’éleva — pas de douleur, mais de naissance.

Le monde venait d’assister à la renaissance d’une âme perdue.

Les vitres explosèrent sous la chaleur.

Le café, jadis symbole d’amour, devint l’autel d’un nouveau serment.

Eïden se releva lentement, la fumée autour de lui formant comme des ailes déchirées.

Dans le silence revenu, une seule phrase flotta dans l’air :

> « L’amour n’est qu’une flamme. Et moi… je suis le feu. »

Le feu reprit vie.

Et avec lui, Eïden aussi.

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Si t’as senti les battements d’Eïden dans ta poitrine, laisse un ❤️ ou un 🔥 pour lui.

L’amour, c’est pas qu’une promesse… c’est une brûlure qu’on garde, même quand tout s’éteint.

Dis-moi en commentaire : toi, t’as déjà aimé jusqu’à brûler ?

Chaque mot, chaque cœur que tu laisses, rallume une étincelle dans son histoire.

🌹 Dark, celui qui écrit avec les cendres du cœur.