Univers :

Dans une ville où le monde des affaires et celui des mafias sont en guerre froide, Nael est le PDG d’un empire économique "clean", respecté pour sa froideur et sa discipline. Ce qu’ignore le public, c’est qu’il est un Halpha, ce qui le rend vulnérable dans ce monde d'Alphas qui méprisent les Halphas comme des anomalies.

De l'autre côté, Kairos, chef redouté d'une mafia influente, est aussi un Halpha. Mais lui a embrassé sa nature sauvage, la camouflant sous un masque d’arrogance et de danger. Il a toujours été intrigué par Nael, ce PDG qui semble insensible à tout, même à lui.

Chapitre clé : La découverte choc au bureau

Nael commence à avoir des malaises en pleine réunion importante. Il attribue ça au stress, mais les symptômes empirent : chaleur soudaine, vertiges, une sensation lourde au bas-ventre.

Un soir, alors qu’il reste tard au travail, Nael s’effondre dans son bureau. Ses employés de confiance, loin de le juger, prennent soin de lui. Lorsqu’ils découvrent qu’il est enceint, leur réaction n’est pas la pitié, mais le respect absolu.

> ✨ "Chef Nael, vous portez un héritier… Vous n’êtes pas un faible. Vous êtes la preuve que même les lois naturelles se plient à vous." ✨

Nael décide de garder la grossesse secrète du monde extérieur. Il continue d’assister à des conférences et des événements, cachant ses douleurs, son ventre qui s’arrondit lentement sous des costumes parfaitement taillés.

Kairos découvre la vérité… par instinct

Dans un autre chapitre, Kairos, en chef mafieux arrogant, s’amuse à provoquer Nael lors d’une conférence où business et crime se croisent. Il sent quelque chose d’étrange : l’odeur subtile de chaleur, mais différente… une odeur de création, de vie.

Il confronte Nael, pensant qu'il bluffe :

> "Tu te caches derrière tes costumes sur-mesure, PDG. Mais ton corps ne ment pas à un Alpha… ou plutôt, à un Halpha comme moi."

Nael garde son calme, lui répondant avec froideur :

> "Tu parles trop pour un homme qui ignore de qui est cet enfant."

premier chapitre: symptômes.

Le silence régnait dans l’immense tour de verre.

Il était tard. Trop tard. Mais Nael refusait de rentrer.

Assis dans son bureau, le regard dur fixé sur des dossiers sans fin, il serrait la mâchoire.

Son ventre, à peine arrondi, lui brûlait.

Des spasmes lui coupaient le souffle, des vagues de chaleur lui montaient à la gorge. Il détestait ça.

Deux mois.

Deux mois qu’il portait cet enfant.

Deux mois qu’il cachait au monde — et surtout à Kairos — qu’une nuit de perte de contrôle avait changé sa vie.

Il croyait pouvoir gérer.

Il croyait pouvoir dompter son propre corps.

Mais là, il suffoquait.

Ses doigts agrippaient la table, ses ongles s’enfonçant dans le bois.

Une contraction violente le plia en deux, un gémissement lui échappa malgré lui.

> "Tsk... Pas maintenant... Pas devant eux…"

Mais il était seul. Du moins, c’est ce qu’il croyait.

Un bruit discret.

Une ombre se glissa dans la pièce, sans bruit, tel un prédateur.

> "Tu pensais que je ne sentirais pas ça, Nael ?"

La voix grave, suave, lui glaça le sang.

Kairos.

Il se redressa difficilement, le regard dur, arrogant, malgré la sueur perlant sur son front.

> "Je ne t’ai pas invité, Kairos."

Kairos s’approcha, lentement, les mains dans les poches, un sourire en coin.

> "Et pourtant… me voilà. Parce que ton odeur, Nael… elle m’a appelé."

Nael serra les dents. Sa respiration était saccadée, son corps refusait de lui obéir.

Une autre contraction lui coupa les jambes.

Il tomba à genoux.

Mais avant qu’il ne touche le sol, Kairos l’attrapa au vol.

> "Nael… Tu peux continuer à jouer le roi autant que tu veux. Mais cette nuit, tu es mien. Pas en tant qu’Alpha. Pas en tant que rival. Mais en tant que père de cet enfant."

Nael essaya de le repousser, ses mains tremblantes contre le torse large de Kairos.

Mais Kairos le serra contre lui, doucement, sans brutalité.

> "Arrête de lutter contre ton propre corps, Nael. Il te demande de l’aide. Et moi aussi."

Le cœur de Nael battait à tout rompre. Son corps voulait se reposer contre Kairos. Mais son esprit hurlait de garder le contrôle.

> "Je n’ai pas besoin de ton aide, Kairos. Je peux gérer ça. Je gère toujours."

Mais Kairos ne bougea pas.

Au contraire, il s’agenouilla avec lui, posant son front contre le sien, ses bras le soutenant fermement.

> "Je ne suis pas là pour t’abattre, Nael. Je suis là pour te porter."

Les murs du bureau, témoins froids de leur guerre quotidienne, semblaient s’effacer.

Il n’y avait plus que ces deux Halphas, liés par un enfant qu’ils n’avaient jamais planifié… mais que Kairos acceptait sans un mot de plus.

Les contractions se calmèrent lentement, comme apaisées par la présence de Kairos.

Nael, épuisé, ferma les yeux.

> "Tu ne diras rien à personne, Kairos."

> "Nael…"

Kairos caressa sa nuque d’un geste possessif mais tendre.

"Ce que nous sommes n’appartient qu’à nous. Mais cet enfant… appartient à nous deux."

La nuit où le Roi est tombé… il n’a pas chuté seul.

Il a été porté.

Nael ouvrit les yeux dans une pièce qu’il ne connaissait que trop bien : le repaire sombre et élégant de Kairos.

La lumière tamisée filtrait à travers les stores, dessinant des rayons sur le visage fatigué de Nael.

Sa tête lui lançait encore, mais une présence à ses côtés le rassura un peu.

Kairos, assis dans un fauteuil, l’observait silencieusement, une tasse de thé fumante à la main.

> "Tu es enfin réveillé," murmura Kairos, sa voix grave caressant l’air.

Nael tenta de se redresser, mais la douleur dans son ventre lui rappela la réalité.

> "Je t’ai porté jusqu’ici," répondit Kairos avec un petit sourire en coin.

"Si tu avais continué à t’effondrer au bureau, tu aurais mis en danger l’enfant… et moi aussi."

Nael détourna le regard, gêné malgré lui.

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Les semaines passèrent, et malgré eux, ils durent cohabiter.

Nael, habitué à commander, se retrouvait parfois à dépendre de Kairos — et ça lui brûlait le cœur autant que son ventre.

Mais Kairos ne perdait pas une occasion de lui rappeler sa force.

> "Tu es bien plus qu’un PDG, Nael. Tu es une force de la nature, même en étant enceinte."

Des regards échangés, des silences lourds de non-dits, et cette tension électrisante qui les rapprochait malgré eux.

Nael commençait à ressentir plus que du ressentiment.

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Un soir, alors que Kairos posait doucement une main sur le ventre arrondi de Nael, celui-ci se figea, surpris.

> "Ça… c’est réel, hein ?"

Kairos hocha la tête, son regard brûlant d’une tendresse nouvelle.

> "Plus réel que tout ce que nous avons tenté de nier."

Leurs regards se croisèrent, chargés de cette vérité que ni l’un ni l’autre ne voulait encore admettre.

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La nuit enveloppait la ville dans son manteau noir, tandis que dans l’appartement de Kairos, une atmosphère électrique régnait.

Nael était assis sur le canapé, la main sur son ventre rond, perdu dans ses pensées.

Kairos s’approcha doucement, le regard brûlant d’une tendresse farouche.

> "Tu n’es pas obligé de porter tout ce poids seul, tu sais."

Nael détourna le regard, un soupir lourd de fatigue et de peur.

> "Je suis censé être fort. Le chef. Je ne peux pas montrer la moindre faiblesse."

Kairos s’agenouilla devant lui, posant une main chaude sur la sienne.

> "La vraie force, c’est aussi de savoir demander de l’aide."

Un silence s’installa, chargé d’émotions.

Puis Nael, la voix tremblante, laissa enfin tomber ses barrières.

> "J’ai peur, Kairos. Peur de perdre ce que je ne peux même pas encore tenir. Peur de devenir… vulnérable."

Kairos attrapa doucement le visage de Nael entre ses mains, leurs yeux se cherchant dans la pénombre.

> "Tu n’es pas seul. Jamais."

Leurs lèvres se frôlèrent, hésitantes, avant de s’unir dans un baiser tendre et passionné.

Nael se laissa tomber contre Kairos, sentant pour la première fois depuis longtemps un poids se lever.

---Quelques jours après leur nuit intense, Nael sent encore les échos du baiser de Kairos vibrer dans chaque fibre de son corps.

Mais la vie ne laisse jamais le temps de savourer la paix.

Kairos l’invita à une soirée privée dans un manoir discret, lieu de rencontre des plus puissants.

Nael savait que ce serait important, mais il ne s’attendait pas à ce que Kairos lui présente sa femme légale, l’unique femme qu’il ait jamais aimée avant lui.

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La porte s’ouvrit sur une femme d’une élégance glaciale, au regard pénétrant mais doux.

Elle s’appelle Sera, et elle était autrefois le premier amour de Kairos, une reine dans l’ombre, respectée de tous.

Nael sentit son cœur se serrer en la voyant. Cette femme représentait tout ce qu’il ne voulait pas être — la légitimité, la tradition, la sécurité.

Et pourtant, il y avait quelque chose dans la façon dont Kairos la regardait, un respect mêlé d’une tendresse qu’il ne lui avait jamais montrée.

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Pendant la présentation, Nael sentit une chaleur familière lui monter au visage — pas seulement à cause de la grossesse.

Son regard croisa celui de Kairos, et une étincelle électrique passa entre eux.

Mais ce n’était pas fini.

Au coin de la pièce, Nia, amie proche de Nael et silencieuse gardienne de ses secrets, observait la scène.

Elle sentit ses joues s’embraser d’un rouge timide.

> "Oh non... pas ça," pensa-t-elle en souriant malgré elle.

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Nael, lui, était déchiré.

L’amour qu’il ressentait pour Kairos devenait plus profond, plus compliqué.

Mais voir cette femme, ce passé, ce lien légal… tout cela lui rappelait que leur histoire ne serait pas simple.

Pourtant, au fond de lui, il savait une chose :

> Son cœur, cette fois, ne pouvait plus fuir.

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Quelques jours après la soirée au manoir, Nael se retrouve face à lui-même.

Son cœur bat encore plus fort chaque fois qu’il repense à Kairos — à la force brute, à la tendresse cachée derrière l’arrogance.

Mais Sera… Sera est une autre histoire.

Cette femme, digne et élégante, rayonnante dans sa maîtrise de l’équilibre entre douceur et pouvoir, lui a parlé d’une manière qui a ébranlé ses certitudes.

Elle n’est pas juste la « femme de Kairos » — elle est une reine à part entière.

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Lors d’une rencontre plus intime, Nael a surpris Sera en train de lui sourire, non pas en rivale, mais en complice.

Et là, Nael a senti son cœur se déchirer.

> « Comment peut-on aimer deux flammes si différentes et pourtant si brûlantes ? »

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Les jours suivants, Nael se surprend à rêver de Kairos, de ses bras puissants, de sa voix rauque.

Mais aussi à penser à Sera, à sa douceur dans le regard, à sa façon de comprendre la complexité de leur monde sans jugement.

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Dans un moment de faiblesse, Nael confie ses doutes à Nia, qui le regarde avec tendresse.

> « Tu es au centre d’une tempête, Nael. Mais ce qui compte, c’est que tu écoutes ton cœur, même s’il saigne. »

Dans le bureau sombre de Kairos, l’atmosphère était lourde, chargée d’attentes non dites.

Nael se tenait là, le regard déterminé mais le cœur en bataille.

Kairos l’observait, ses yeux brillants d’une intensité qu’on ne pouvait ignorer.

> "Parle, Nael," dit-il simplement, comme un défi et une invitation à la fois.

Nael prit une profonde inspiration, serrant les poings.

> "Je t’aime, Kairos. Depuis toujours. Mais… il y a autre chose."

Il baissa les yeux un instant, puis releva le regard.

"Sera n’est pas juste ta femme. Elle… elle est importante pour moi. D’une façon que je ne comprends pas encore."

Un silence s’installa, lourd et palpable.

Kairos s’approcha lentement, chaque pas un coup de tonnerre dans le cœur de Nael.

> "Tu es au centre de ma vie, Nael. Mais je ne suis pas naïf. Je sais ce que tu ressens pour elle."

Sa voix se fit plus basse, presque un murmure brûlant.

"Et si tu peux aimer deux flammes, alors je serai prêt à brûler avec toi."

Nael sentit son souffle se couper.

Kairos était là, vulnérable malgré sa force apparente.

> "Je ne veux pas te perdre. Ni elle. Ni toi."

Kairos posa une main sur la joue de Nael, son toucher doux contrastant avec la puissance de ses mots.

> "Alors, apprenons à danser entre ces flammes. Ensemble."

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Les yeux de Nael s’embrasèrent.

Ils savaient que le chemin serait difficile, que la jalousie et les secrets viendraient tourmenter leurs nuits.

Mais pour la première fois, Nael sentit qu’il pouvait affronter tout ça, parce que Kairos serait à ses côtés.

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.Dans un jardin privé du manoir de Kairos, la nuit était douce, éclairée par une lune complice.

Nael, le cœur lourd et l’âme vulnérable, attendait Sera.

Quand elle arriva, vêtue d’une robe élégante mais simple, leurs regards se croisèrent, chargés d’une vérité encore jamais dite.

Nael prit une profonde inspiration.

> "Sera… je ne peux plus garder ça pour moi. Je t’aime. Pas seulement parce que tu es la femme de Kairos, mais parce que tu es… toi. Forte, belle, compréhensive."

Sera sourit doucement, son regard brillant d’une lumière nouvelle.

> "Nael… je ressens la même chose. Depuis longtemps, en fait. J’ai essayé de l’ignorer, de rester dans mon rôle… mais toi, tu as fait tomber mes murs."

Nael sentit son cœur s’emballer.

Sans prévenir, Sera s’approcha, posa une main légère sur sa joue, et… l’embrassa.

Le baiser était doux, brûlant, une explosion de sentiments contenus trop longtemps.

Nael ne sut plus où donner de la tête, partagé entre la surprise et le désir.

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Lorsqu’ils se séparèrent, leurs regards restaient accrochés, promettant un chemin compliqué mais sincère.

> "On devra être prudents," murmura Sera.

"Mais peut-être que… cet amour peut changer tout ce qui semblait immuable."

Nael hocha la tête, le souffle court.

> "Je suis prêt à tout affronter. Pour toi. Pour Kairos. Pour nous."

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Le triangle venait de prendre une nouvelle dimension, plus intense, plus fragile, plus… vrai.

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