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La Bataille De L’Abandonnée

Chapitre 1

Le Soleil d’été frappe fort. Marchant à pied sur la route de saint- Angers, transpirant toute la sœur de son corps, Nirla serrait très fort le bras de crochetta. Quitter son village était très dur pour elle. Elle avait beau se convaincre que c’était les dernières volontés de ses parents avant qu’elle ne parte, elle ne pouvait pas se résoudre à les abandonner.

Crochetta prendra soin d’elle. Nirla n’avait pas besoin de s’inquiéter. De toute façon elle reviendra au village à sa majorité. Nirla serra plus fort le bras de la bonne femme. Cette dernière ne pouvant plus le supporter lui demanda:

-pourquoi me serres- tu si fort?

un moment de silence s’installa entre elles.

- Je suis nerveuse. Je m’excuse si cela te dérange Madame Crochetta. Disait Nirla d’une voix peureuse.

Elle lâcha le bras de la femme avant de se dirigé vers un arbre avec enthousiasme. Elle s’assit sous son ombre profitant de la petite brise bien fraîche.

-Lèves toi. Nous n’avons pas le temps pour ça. Tu te reposeras lorsque nous arriverons au duché.

-Mais il fait bon ici. Je ne veux pas marché sous ce soleil étouffant. Disa la petite fille toute penaude.

-Oui, je te comprend. Mais il ne faut pas s’attarder sur la route. Sinon nous arriverons très tard. Ce sera la première fois que tu mets les pieds dans le duché de Gaetanie. Tu ne voudrais pas faire mauvaise impression, n’est-ce pas ?

-Bien sur que non madame Crochetta! Jamais il ne m’arrivera malheur de vous faire honte!

-Je le sais ma petite. Allée, viens. Metton nous en route.

Nirla sorti de l’arbre. Elles prirent leur route. Quand elles arrivèrent enfin au duché, des servantes les accueillaient.

L’une d’elles s’approcha de Nirla avec un sourire chaleureux.

-Bienvenue au duché Gaétanie. Moi je m’appelle Beckie. Et toi?

-Je suis Nirla, Nirla de vermini.

-Ho, tu sais que tu es une mignonne fillette? Tu as de très beaux yeux. Tu as aussi de…

-Beckie! Disa une des servantes avec une mine sévère. Nous sommes pas là pour faire joujou. Si ça ne tenais qu’à moi je ne serais pas là sous ce soleil brûlant à accueillir une demie portion. Tu ferais mieux de l’amener à ses appartements et lui faire prendre connaissance de toutes ses tâches. Pour une fois que nous avons une recrue, ce n’est pas pour qu’elle nous est inutile. Sur ce la servante tourna les talons.

Nirla ne savait pas comment réagir à ça. Elle sourit juste puis baissa la tête.

-Ne t’inquiète pas de Sophie. Ajouta crochetta. Elle est toujours de mauvaise humeur. C’est ça façon d’être.

Beckie lui présenta le duché en commençant par le jardin, puis le manoir.

-Ca a l’air d’être immense, mais tu sauras t’orienter très vite.

-vraiment? Demanda Nirla.

-Oui! Il m’a fallu à moi à peu près un mois pour me repérer. Tu finiras par t’habituer.

Nirla regardait Beckie sans dire un mot. Un mois, quand même. Quand Beckie fini de lui présenter le manoir et lui disa ses tâches à effectuer au cour de la journée. Pour commencer elle devait s’occuper du jardin avec le jardinier. Puis allée aider à la cuisine pour préparer le déjeuner et le dîner. Surtout qu’il y aura des invités dans les prochaines semaines.

Beckie l’emmène dans sa chambre.

-C’est là que tu dormiras. Ça te plaît?

-Oui, Oui, ça me plaît. La chambre est bien plus spacieuse que celle que j’avais chez moi.

-Je suis contente que ça soit à ton goût.

Nirla se promenait dans sa nouvelle chambre. Effleurant les meubles. Elle n’y croiyait toujours pas. Elle pouvait avoir un espace à elle presque aussi grande que celle de ses parents. Elle se tourna vers Beckie et s’apprêtait à la remercier lorsqu’elle lui disa:

-Tu n’es pas de la famille de crochetta n’est-ce pas?

- En effet, nous ne sommes pas de la même famille. Mais elle était une amie proche de ma mère.

- Mais alors, où son tes parents?

- Au village de rosa du sud. Ils sont…

Nirla se taisa lorsqu’elle vit la tête que faisait Beckie. Elle avait les yeux équarcillés

La peau pâle. Nirla lui demanda ce qu’elle avait, mais Beckie se précipita vers la porte et souhaita une dernière fois la bienvenue à Nirla avant de la claquer.

Nirla ne comprenait pas ses agissements. Elle déposa ses peu d’affaires sur son lit et se jeta sur celui-ci. Elle soupira. Enfin après une longue route, elle pouvait se reposer.

Chapitre 2

Durant tout l’après-midi, Nirla resta couché longtemps sur son lit. Elle commençait à avoir faim. Quelqu’un frappa soudainement à la porte. Crochetta entrât dans la pièce.

-Comment vas tu Nirla?

- Bien, Merci.

-Très bien. Viens dans la cuisine, je t’ai préparé quelque chose à manger.

Nirla se dépêcha de descendre le lit. Elle rejoignit crochetta. Quand elles arrivèrent dans la cuisine, tous les yeux s’étaient tournés vers elles. Crochetta lui indique une chaise près d’une table. Nirla s’assît, ne disant aucun mot.

-Donc , c’est cette petite. Elle m’a l’air très faible. Lança une servante aux cheveux courts et ébouriffés .vous croyez qu’elle nous sera d’une grande aide?

-Il faut lui laisser le temps de bien s’intégrer. On ne peut pas espéré plus d’elle.

-Bien sûre, je n’ai pas dit le contraire. Au moins ça nous fera plus de bras. Disait-elle en riant bêtement.

Après son rire, la pièce devient silencieux. La femme regarda Nirla puis lui dit:

- Vient par là p’tite.

Quand Nirla parut s’exécuter, Crochetta lui attrapa le bras.

La femme riait encore plus.

-Si tu es toujours sur son dos crochetta elle finira par ne savoir rien faire. Moi c’est Pitz. Il paraît que tu viens de Rosa du sud. Tu dois être malheureuse. Tu…

- Assez! Laisse la tranquille Pitz! Disait crochetta.

Nirla sentait son bras être de plus en plus fort. Pourquoi Crochetta fesait ça ? Crochetta lui jeta un regard inhabituel.

-Mange , il faut que je te parle après. Son ton était autoritaire.

La fillette finit de sa nourriture à une telle vitesse tellement elle avait faim. Tout à coup Beckie entra précipitamment.

-Dite-moi que vous avez terminé de préparer Ie déssert? Le maître Léonard réclame son dessert de l’après-midi.

-Quel gamin pourie gaté. Disa Sophie d’un air dégoûté.

Pas étonnant qu’il soit aussi gros. Rajouta Pitz.

-il ne faut pas parler du maître ainsi! S’écria Beckie. Et si jamais quelqu’un vous entendait.

- Quoi ? Tu as peur?

-Oui, quand même…

-Ne commence pas à m’agacer Beckie. Lança Pitz. De toute façon qui oserait nous balancer.

Sophie est l’intendante qu’est-ce qui pourrait bien nous arriver?

Pitz jeta un regard à Nirla.

-hé, toi. Tu ne m’as pas révélé ton nom.

Nirla semblait désemparée. Elle finit par lui répondre.

-Je m’appelle Nirla de ver…

-Non! Ça ne te vas pas du tout! Je vais plutôt t’appeler mouton noir. C’est plus mignon. En plus tu as les cheuveux noirs. Cela te va beaucoup mieux.

Nirla ne disa pas un seul mot. Elle savait que si elle montrait son désaccord, cela allait créer des problèmes , des discordes qu’elle ne voudrait pas s’occuper. Elle préférait être aimée de tous et être tranquille. Vaut mieux être gentille.

-Ça ne te plaît pas?

-Non, je n’ai jamais dit ça!

-Alors, tu aimes ou pas ?

- oui j’aime!

-Nous t’appellerons mouton noir désormais .

À cet instant, Crochetta apparaît. Elle demanda à Nirla si elle avait fini. Cette dernière lui répondit que oui. Crochetta prit Nirla et l’emmena à sa chambre.

- Qu’est-ce que je t’avais dit? Disait Crochetta en fermant la porte derrière elle.

Nirla lui lança un regard innocent.

- Tu sais très bien de quoi je parle. Je t’avais pourtant averti de ne jamais parlé de ton village. Aujourd’hui tu as fait le contraire.

- Je suis désolée. Ça m’es sortie de la tête. Ne me punie pas ! Je t’en prie!

- Non, non , je ne ferai pas ça. Mais ne me désobéit plus . Les gens ont tendance à se rappeler de choses qu’ils devraient oublier.

- Pourquoi devrait-t-il oublié que je vient de Rosa du sud.

- Tu poses trop de questions. Bon, la vraie journée commence demain. Dors bien, car tu en aura besoin.

Crochetta repartit aussitôt. Nirla déballa ses affaires, les rangea puis se changea. Elle se laissa tomber sur le lit. Ses parents lui manquait. Tout à coup, les années à passer dans cet endroit lui paraissait être une éternité. Si elle le pouvait, elle se serait retourné lorsqu’elle était en route. Mais voilà, elle ne pouvait. Sa mère lui avait fortement déconseillé. Nirla fini par s’endormir, les paupières lourdes.

Le lendemain, elle se mit à la tâche. Elle aida le jardinier. Même si elle n’a jamais eu à entretenir des fleurs, elle aimait faire ça. Les arroser, couper leurs ronces, les couper lorsqu’elles étaient à leur plus belle forme. Par contre, le soleil était si chaud qu’elle se sentait sécher comme de de la viande sous celle-ci. Elle ne pouvait qu’être heureuse que le moment de la pause soit venue. Elle rentra dans la cuisine où elle aida un peu pour la vaisselle.Elle préférait faire ça que d’y rester une seconde de plus.

-Et bien, on dirait que tu t’habitues très rapidement à ton travail mouton noir . Souffla Pitz derrière elle. Tu ne sembles pas te fatiguer, pourtant être jardinier est un travail très dur qui requiert un dos très rigoureux. Sinon crois moi , avant la fin de la journée, tu ne pourras même plus t’asseoir.

Pitz finit par éclater de rire. Nirla l’ignora et retourna à son travail. Durant l’après-midi elle alla se poser au pied d’un arbre. La douce brise lui frôlait le visage. Elle entendait le bruit des papillons qui volait près d’elle, le bruit des arbres, des bruits de sabots et des bruits de…

-Des bruits de sabots? D’où ça peut bien provenir?

Nirla tourna la tête. Elle vit à l’horizon un cheval qui galopait. Son monteur sur la selle était trop loin pour qu’elle puisse distinguer les très de son visage. Quand ils s’approchèrent en peu plus, Nirla pouvait admirer plus nettement. Le monteur était d’une beauté extrême alors qu’il semblait avoir le même âge qu’elle . Cette dernière restait là ,bouche bée. Que ce soit par sa beauté, par sa façon de se tenir, de diriger son cheval, tout était parfait. Le jeune cavalier était suivi de deux autres garçons, tous les deux plus âgés. L’un des deux était rond mais gracieusement habillé. Les deux autres portaient de simples tenues. ils étaient tous à cheval. Lorsqu’ils furent près d’elle,Nirla pouvait apercevoir les beaux yeux du plus jeune. Il avait les yeux d’un bleu plus bleu que le ciel lui-même.

-mouton noir!

Nirla se retourne brusquement. C’était Beckie qui courrait vers elle.

- Mouton noir, j’ai besoin de toi à l’intérieur. Tu dois m’aider à aller servir le dîner.

Nirla se leva sans détourné ses yeux des trois monteurs. Beckie remarqua son manque d’attention, elle lui dit:

-Mouton noir, tu n’as pas le temps de te préoccuper de ça.

-Je ne pensait pas que tu oublierait mon nom aussi vite. Maintenant tu m’appelles mouton noir.

- j’avoue, j’ai peut-être oublié ton nom. Mais mouton noir c’est plus facile à se rappeler.

-ça ne fait rien. Allons y, nous avons autre chose à faire.

Nirla et Beckie se dirigèrent vers le manoir.

- Mais dit moi tu as quel âge?

- j’ai dix ans.

-oh, tu es plus jeune que ce que je pensais.

tu as le même âge que ma sœur, un jour je te l’a présenterai. Je suis sûre que…

Tout à coup un cris perçants se fit entendre. Nirla sursauta . Qu’est-ce que ça peut être?

Chapitre 3

Un cris perçant résonna dans l’espace. Nirla se demandait ce que cela pouvait être. Elle entendit Beckie murmurer quelque chose.

« Ce qu’il est agaçant » 

Nirla se tourne vers Beckie.

-Qui est agaçant? Demanda t-elle.

-Tu n’as pas à t’inquiéter, tu le sauras bientôt. Pour l’instant nous devons servir le dîner.

Nirla et Beckie se lancèrent dans les couloirs du manoir après avoir pris les plateaux de nourriture. Elles finissent par entrer dans une grande pièce où était disposé une grande et longue table. Par dessus étaient délicatement posé l’argenterie. La nappe était d’une blancheur immaculée. Il y avait des chandelles partout. Nirla était surtout captivé par la lampe ayant plein de petit cristaux suspendu au plafond. Que ce soit par les lampes, l’argenterie, la table ,où les fenêtres, pour Nirla touts cela étaient magnifiques.

Les yeux de Nirla tombèrent sur un jeune garçon assis autour de la table. C’était le cavalier qu’elle avait aperçu plutôt. Les deux autres cavaliers étaient aussi assis autour de la table, puis une femme et un homme siégeaient aux deux extrémités.

Beckie commença à servir et enleva les couvercles des plateaux.

-Ahhhhhhhhhhhhh!

C’était le même cris qu’elles avaient t entendu tout à l’heure.

-Où il est! Où il est?!

La femme souffla désespérément.

-Quoi? De quoi tu parles Léonard ?

Le cavalier rondelet croisa les bras et cria de nouveau.

- Je veux mon dessert ! Je le veux!

La femme fixa son assiette avant de lui répondre.

- Manges d’abord l’entrée avant le dessert. Cela fait déjà beaucoup trop de sucre en une seule journée.

- Non je le veux maintenant! Maintenant!

La femme semblait ne plus le supporter. Elle avait une mine fatiguée. Les yeux cernés, les joues creuses . Le garçon continua de crier très fort. La femme finit par porter ses mains à sa tête.

-Très bien Léonard, tu l’auras ton dessert. Disait-elle en se tournant vers Beckie. Où sont les desserts, Beckie? Tu sais que Léonard en raffole et qu’il ne serait pas satisfait s’il n’y en a pas. Explique toi.

Beckie semblait redouter ce moment. Elle bégayait, comme si elle avait peur de leurs réactions.

- et bien… c’est… c’est… parce que… cer... certains ingrédients… manquent.

La femme découragée ne faisait plus attention au garçon qui lui, continuait de crier.

-Mère il fallait s’y attendre. Léonard a lui seul fini toutes les réserves. C’est pour cela qu’il a le ventre si bien rempli. S’écria le plus âgé des trois garçons .

Léonard réplique:

- Mais au moins je suis en bonne santé, contrairement à toi. Tu as vu comme tu es maigre!

- Tu dis ça alors que tu ne peux même pas faire trente minutes de marche. Voir courir, c’est un défi pour toi!

-Silence!

La pièce devient étrangement calme.

-J’en ai assez de vous voir dire des bêtises. C’est vraiment pénible.

Tout le monde semblait choqué. Même le plus jeune cavalier. L’homme assis à l’extrémité de la table leva les yeux. Nirla pouvait sentir une pression énorme.

-Maintenant, tout le monde mange . Léonard, il n’y aura pas de dessert. Disait-il sur un ton détaché.

Sur ce, tout le monde pris ses ustensiles. L’endroit devient si calme que l’on pouvait entendre les mouches volés.

Les yeux de l’homme tombèrent sur Nirla. Cette dernière sursauta. Elle s’attendait à ce qu’il dise quelque chose, mais il ne dit rien et retourna à ses occupations. Nirla était soulagée. Elle et Beckie finissent par quitter la salle à manger. Après avoir senti qu’elles étaient assez loin. Nirla demanda à Beckie qui étaient ces gens.

- Je pensais que tu l’aurais deviné.

-Hein? Pourquoi?

- C’est évident, non? Ce sont le duc et la duchesse Gaetanie. Et ils sont accompagnés de leurs trois fils. Ce son eux les maîtres de ce domaine.

Nirla n’y croyait pas. Le jeune garçon qui attirait tant son attention était donc le fils du duc. D’ailleurs Nirla a encore des frissons en repensant à cet homme .

La soirée était vite arrivée. Il faisait déjà noir. Nirla était confortablement assise dans la cuisine. Elle prenait son dîner tout froid. Elle avait appris que les servantes n’avaient pas le temps de manger avant le soir venu. La journée était très épuisante pour Nirla, mais pourtant elle ne se plaignait pas. Elle savait très bien que ça allait être dur. En plus c’était ça première journée, il ne fallait surtout pas montrer ses faiblesses. La cuisine était presque vide. Elle pouvait entendre la conversation de deux servantes qui se racontaient des potins.

-He! Vous avez entendu la nouvelle?

-Hein? De quoi tu parles?

- Je parle évidement du royaume de pluvious . Il paraît que la délégation du pays s’est chamaillée avec les diplomates de Pluvious.

- Oh! Ça devient sérieux alors.

- Oui. La tension a encore plus augmenté que la dernière fois. Surtout quand ils ont rencontré les deux parties souveraines. Il parait que le royaume de Pluvious ait prévu d’attaquer le vilage de rosa du sud et qu’il…

-Rosa du sud !? S’écria Nirla en bondissant de sa chaise.

Les deux femmes surprises se taisèrent.

- Vous disiez qu’un royaume s’apprêtait à attaquer le village de Rosa du sud. Que vas t’il lui arriver? je veux savoir!

-He mouton noir, ça ne se fais pas d’écouter les conversations des autres. Tu ferais mieux de te mêler de ce qui te regarde. Lança l’une d’elle.

Les deux servantes s’en allèrent. Nirla avait soudainement le cœur lourd. Son village, sa maison, ses parents, qu’allaient-ils leur arriver. Nirla ne pouvait plus manger. Elle alla regagner sa chambre. Lorsqu’elle fût arrivée, elle remarqua quelque chose bouger du coin de l’œil. Quand elle tourna la tête elle vit une petite silhouette qui finit par être éclairé par la lumière de la lune qui traversait les fenêtres . Nirla pouvait clairement distinguer les traits fins, les yeux beu, la posture élégante qui n’a rien à voir avec celle des roturiers. Le jeune monteur s’avança vers Nirla et s’arrêta devant elle.

A ce moment Nirla se souvient des paroles de Crochetta, qui lui disait de toujours saluer les membres de la famille Gétanie. La petite fille baissa la tête et se pencha. Étonnamment le garçon fit de même. Il n’avait pas à faire ça pourtant. Puis il partit dans l’allée. La présence de ce gamin était si froide et chaleureuse en même temps. C’était si étrange. Dire que de nombreuses journées vont ressembler à celle-ci, c’en n’est déjà décourageant.

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