Le cœur, c’est l’organe le plus important chez l’être humain et tout être vivant. Mais le cœur c’est aussi, la confiance, la loyauté, la fidélité et l’honnêteté. Moi, je ne joue qu’avec ces 4 principes fondamentaux, je me fou royalement de blessé, de détruire la confiance des autres en les manipulant comme bon me semble. Du moment que seule moi sort de ce jeu de trahison et de manipulation indemne.

Août, 1464 à Londres.

Le froid de Londres, les rues gelé inondé de monde, de passant. Une journée sombre comme d’habitude, les carrosses déambulant, mon regard vaguant dans les divers paysages morose charmant de Londres. Mais mon calme plat est rompu, par le vacarme des cochers et des chevaux qui hurle, le passage.

— Que ce passe t-il ? Pourquoi la calèche s’arrête ? Demandai-je au cocher avec indifférence et un ton acerbe masqué sous de la politesse.

— Il semble y avoir une manifestation qui bloque la circulation.

— Trouve un moyen d’avancer.

— Mais….

— Ai-je entendu « Mais » ?

— Veuillez m’excuser, M. Maria.

— Je suis déjà lasser, de voir cet homme. Il aime attirer l’attention celui-là. Me dit je en tête sans trop attention, j’ordonne à mon cocher de reprendre la calèche pour partir et remonter à l’intérieur.

Malgré la calèche en marche il trouve quand même le moyen de lancer et un regarder énigmatique et indescriptible en ma direction. Mais je ne lui rend pas son regard. Mais je pouvais le ressentir sur moi, comme une arme pointer sur moi, avec nonchalance. Mais son regard disparaît lorsque nous atteignons la forêt, alors que la ville disparaît dans la verdure de la grande forêt. Qui cache le grand et immense manoir Alchivisto. Les jardins de rosiers, des fontaines, des statues de grâce et d’élégance.

— J’ai tant besoin d’une tasse de thé chaude.

Le hall spacieux et scrupuleusement luxueux, seulement remplie de mes plus fidèles serviteurs et majordome. Je ne peux que soupirer d’agacement et d’épuisement à l’avance de la pile de travail qui m’attend sagement sur mon bureau.

— Luka, ne me rappelle pas tous le travail affreux, qui m’attend dans mon bureau. C’est déjà assez effrayant comme ça.

Luka rigole discretement, se retenant de tout commentaire, m’aidant à retirer mon manteau.

— Vous avez reçu un mot de sa majesté, pendant votre absence, Mme. Maria. M’averti-il

Je m’arrête net et prend la lettre tendu par Luka et l’ouvre, lisant silencieusement, en entrant dans mon bureau suivie de Luka.

...Ma chère enfant, j’espère sincèrement ...

...que vous vous portez bien en cette période mondaine. J’ai un service à vous demandez urgemment. Cela sort de l’ordinaire, mais je n’ai confiance qu’on vous. Plus qu’on n’importe quel autre chien de garde, en ce milieu ma chère enfant. Alors au nom de la couronne, au nom de sa majesté, au nom de la royauté, je vous ordonne de réunir et de réunifier l’Angleterre et la puissance ennemi Russe. Dans un mariage arrangé, afin d’éviter une guerre perdu d’avantce. Avec le fils du gouverneur royale de la Russi et le chef des opérations, Zhenya Dietrich....

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