🖤 TOXIQUE🖤
...ΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩ...
Derrière les sourires fragiles et les silences trop lourds, Aimé dévoile son âme, séance après séance... 🕊️
Deux cœurs fracturés vont s'attirer, se heurter, se consumer.
Lui, hanté par la peur de l’abandon... 🖤
Elle, terrorisée par l’idée d’être aimée pour de vrai...
Quand deux âmes en ruines cherchent à se sauver l’une l’autre, parfois...
Elles finissent par s’enterrer ensemble. ⚰️
Ceci n’est pas qu’une histoire d’amour...
C’est une histoire de survie. ⚡
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^^^ 🌹Bande d'annonce ‼️ ^^^
🤍Mme Kadi🤍
Aimé a toujours été attirée par les gens toxiques.
Ou peut-être...
...C’est elle qui les rendait toxiques.?...
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🥀Aimé🥀
Tout commence par un regard.
Une main tendue.
Un "je serai là pour toi" murmuré au creux du chaos.
Puis tout s’effondre. Comme toujours.
^^^Ils finissent par disparaître.^^^
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......................
🤍Mme Kadi🤍
Aimé aime trop.
Elle donne trop.
Elle étouffe sans le vouloir.
Et elle saigne, seule, dans son silence.
Personne n’a jamais su voir ses blessures.
Elle les cache.
Elle pleure.
Elle tente de se révéler seule...
Mais peut-on réellement se révéler seul, chaque fois qu’on tombe ?
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Je m’appelle Mme Kadi.
Psychologue.
Témoin des âmes qui vacillent entre le besoin d’aimer... et la peur d’être détruites.
Savez-vous que chercher l’amour... peut parfois repousser l’amour ?
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Aimé est arrivée dans mon bureau un mercredi d’orage.
Il pleuvait dehors.
Mais il tonnait dans son cœur, dans son âme.
Ses yeux étaient beaux.
Mais vides.
Ils brillaient d’un feu qui la consumait.
Ses mains tremblaient.
Même quand elle souriait.
Elle était au bout.
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Elle m’a dit qu’elle voulait aller mieux.
Qu’elle était "fatiguée d’être elle-même".
Mais elle ne pouvait être qu’elle-même.
Tous les autres rôles sont déjà pris.
Et pourtant... il y avait de l’espoir.
Car elle était encore en vie.
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Ce jour-là, j’ai compris que son mal était plus profond que ce qu’elle osait avouer.
Elle n’était plus qu'une ombre d’elle-même.
Abandonnée enfant.
Ballottée entre promesses brisées et attentes déçues.
Grignotée de l’intérieur par la peur d’être oubliée.
Aimé portait en elle le syndrome d’abandon,
Un trouble de l'attachement affectif si puissant
Qu’il avait consumé tout ce qu’elle était censée devenir.
Et surtout...
Elle était à la limite du burn-out émotionnel.
Un pas de plus...
Et elle se serait perdue pour de bon.
Le retour aurait été difficile. Peut-être même impossible.
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Je n’ai pas hésité.
Je l'ai acceptée en thérapie.
Parce que dans ses yeux, j’ai vu quelque chose.
Quelque chose de beau.
Quelque chose de dangereux.
...Quelque chose de sombre....
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Une histoire à raconter...
Ou peut-être...
Une tragédie à vivre.
Ou encore... des blessures à soigner.
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Bienvenue dans 🖤TOXIQUE🖤
Par Plume de l’Espoir.🥀✨
Il y a encore de l’espoir pour les vivants.
🥀🤍
Aimé 🥀 Commenté 🥀 Abonné vous et surtout ajouter en favoris 📖🌸
TOXIQUE 🖤
La pluie s’écrasait violemment contre les vitres, comme si le ciel lui-même tentait de laver les cicatrices d’un passé trop lourd.
Aimé, seule dans son appartement plongé dans l’obscurité, fixait le vide. Le silence était étouffant.
Son cœur battait toujours aussi fort… mais différemment.
Quelque chose en elle s’était brisé, irrémédiablement.
Elle ne pouvait s’empêcher de revivre ce moment où tout avait basculé.
Malik, l’homme qu’elle avait aimé de toute son âme, l’avait suppliée de rester. Mais elle n’en était plus capable.
Cette relation l’étouffait, consumant peu à peu sa lumière.
Pourtant, une phrase de Mme Kadi la hantait :
« Et si c’était toi qui les rendais toxiques ? »
Une accusation lourde de sens. Certains auraient pu dire que Mme Kadi exagérait… mais Aimé savait qu’elle avait raison.
Ce soir-là, Malik lui avait dit d’une voix brisée :
« Si tu pars, je vais me tuer. »
Elle avait refusé d’y croire.
Après tout, qui se suiciderait pour elle ? Elle espérait avoir tort.
Mais une heure plus tard, un appel glaçant lui transperça le cœur : Malik avait sauté du pont.
Entre la vie et la mort, il gisait, inconscient.
> *Aimé :*
> *C’est de ma faute. J’aurais dû rester. S’il meurt, je ne me le pardonnerai jamais.
La culpabilité l’envahissait, mais une urgence primait : elle devait voir Malik.
Elle se précipita à l’hôpital.
Derrière les vitres froides, elle l’aperçut.
Un corps inerte, branché à des machines, entouré de médecins qui luttaient pour le maintenir en vie.
Aimé avait du mal à réaliser ce qu’elle voyait.
Comment en étaient-ils arrivés là ?
Pourquoi n’avait-elle pas perçu son désespoir ?
Comment l’abandon pouvait-il blesser à ce point ?
Elle se sentait responsable.
Si elle avait fait un pas vers lui, peut-être auraient-ils pu écrire une autre histoire… une histoire où l’amour aurait gagné.
Cette nuit-là, une partie d’elle se brisa pour toujours.
Son cœur saignait. Et elle ne savait pas comment arrêter l’hémorragie.
Mais elle comprit une chose : si elle restait prisonnière de cette culpabilité, elle se détruirait. Elle n’en pouvait plus.
Alors elle fuit l’hôpital, échappant aux regards accusateurs de la famille de Malik.
Et c’est ainsi qu’elle arriva chez Mme Kadi.
Elle espérait y trouver des réponses, un peu de paix. Peut-être entendre que tout n’était pas entièrement sa faute.
Elle voulait comprendre pourquoi ses histoires d’amour finissaient toujours dans les ruines.
Il était temps de tourner la page… même si la blessure saignait encore.
Aimé allait mal. Mais elle voulait guérir.
Elle cherchait à comprendre comment l’amour pouvait mener à la destruction, à la souffrance ultime.
De l’autre côté de la ville, Vihan luttait contre ses propres démons.
Depuis longtemps, l’amour n’avait plus sa place dans sa vie.
Après la trahison de son ex-fiancée, il avait choisi la solitude.
Mais cela ne signifiait pas qu’il ne souffrait plus.
Pour se prouver qu’il pouvait encore croire en l’amour, il avait demandé à sa sœur d’organiser des rencontres.
Mais chaque rendez-vous ne faisait qu’approfondir son vide, lui confirmant qu’il ne connaîtrait plus jamais l’amour.
> *Vihan :*
> Tu ne pourras jamais l’oublier. Tu es condamné à regretter celle qui t’a trahi.
Il essayait de paraître léger, de plaisanter…
Mais son cœur était devenu une forteresse.
Il fuyait tout engagement.
Il avait peur. Peur de revivre l’humiliation, la perte, l’abandon.
Ainsi, Aimé et Vihan, chacun de leur côté, affrontaient leurs démons.
Elle, noyée dans la culpabilité.
Lui, enfermé dans sa peur.
Leurs chemins étaient destinés à se croiser.
Mais était-ce une bonne chose ?
Ils n’avaient pas besoin d’amour.
Ils avaient besoin de guérison.
Le destin les préparait peut-être à se sauver…
Ou à s’anéantir davantage.
À moins de dix centimètres l’un de l’autre…
Aimé courait vers Mme Kadi sous la pluie battante.
Vihan, lui, se hâtait vers sa voiture pour ne pas se mouiller, ignorant que les véritables orages se déchaînait dans son cœur brisé.
🖤 TOXIQUE 🖤
Par Plume de l’Espoir ✨🥀
Deux mois. Voilà deux mois qu’Aimé vivait au ralenti.
Depuis l’accident de Malik, tout semblait s’être effondré. Son corps portait encore les traces de ses blessures, mais c’était surtout son esprit qui était à genoux. Le choc, la culpabilité, les cauchemars… et ce silence intérieur qui pesait plus que tout.
Elle avait voulu reprendre sa vie en main rapidement, mais rien n’était simple. Son ancien patron, malgré quelques jours de compréhension, avait fini par lui dire qu’il « ne pouvait pas continuer à la payer à rester invisible ». Elle s’était fait renvoyer. Un coup de plus dans une série de gifles que la vie lui donnait sans relâche.
Mais Aimé n’était pas du genre à rester à terre trop longtemps.
Une semaine après ce licenciement brutal, elle s'était remise à chercher du travail. Elle avait mis à jour son CV, ressorti ses certificats, et commencé à envoyer ses dossiers un peu partout. Ingénieure brillante, bilingue anglais-français, avec des notions solides en espagnol. Elle avait de quoi séduire.
Et c’est ainsi qu’elle reçut une réponse de Sana Technologie. Une société bien implantée en Afrique de l’Ouest, réputée pour son dynamisme et son innovation. Elle n’y croyait presque pas.
Aujourd’hui, c’est son premier jour.
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Aimé respira profondément devant le bâtiment vitré. Grande façade, employés pressés, badge autour du cou, regards indifférents. Elle se murmura :
Aimé (à elle-même) :
> « Ne t'inquiète pas Aimé. Tu n'es pas ici pour plaire. Tu es là pour bosser. Arrive à l'heure, sois efficace, et souris juste ce qu’il faut. Pas besoin d’amis. Pas besoin d’histoires. »
Elle entra, droite, presque rigide, le cœur battant plus vite qu’elle ne le voulait.
Dans l’open space, certains la remarquèrent tout de suite.
Collègue 1 (discret) :
> « C’est la nouvelle ? »
Collègue 2 (sourire en coin) :
> « Elle est canon… »
Collègue 1 :
> « T’avais pas dit que tu sautais sur tout ce qui bouge ? Fais gaffe, le boss t’as à l’œil. »
Collègue 2 (haussement d’épaules) :
> « Et alors ? Depuis quand ma vie privée le regarde ? Et n’oublie pas que je suis son aîné. »
Collègue 3 (moqueur) :
> « Son aîné ? Fallait créer ta boîte alors. »
Collègue 1 (soupir) :
> « Un peu de tenue, messieurs. On est au boulot. »
Collègue 3 :
> « Bref… »
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Aimé les avait entendus. Pas tous les mots, mais l’intonation suffisait. Elle ne leva pas les yeux. Elle s’installa à son bureau, mit son casque audio et s’isola.
Aimé (pensées) :
> « Wahou… j’espère ne jamais bosser en équipe avec l’autre. Le monde du travail... un monde que je connais. Et qui ne m’a jamais enchantée. D’ailleurs, qu’est-ce qui m’enchante encore dans cette vie ? »
Elle secoua la tête.
> « Putain. Sors de ta tête, Aimé. Focus. Juste aujourd’hui. Puis demain. Un pas à la fois. »
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Pendant ce temps-là, ailleurs, un homme était assis dans son bureau, téléphone à la main.
Vihan :
> « Oui Sami. Alors ? Du nouveau ? »
Sami (voix au téléphone) :
> « Oui… mais elle cherche pas l’amour. Elle veut juste le mariage. Elle s’en fout de comment tu vas l’aimer ou si tu comptes prendre d’autres femmes. Elle veut juste fuir la maison familiale. »
Vihan (riant jaune) :
> « Quelle honnêteté. C’en est presque repoussant. »
Sami :
> « Hahaha ! Elle est gentille quand même. »
Vihan :
> « Non merci. »
Sami :
> « Oh allez quoi ! Tout ce que j’ai fait pour toi… »
Vihan (soupir) :
> « Si ça peut te faire plaisir. »
Sami :
> « Merci mon frère ! On se parle plus tard ? »
Vihan :
> « Sami. »
Sami :
> « Oui ? »
Vihan :
> « Merci d’être là. »
Sami :
> « C’est normal. T’es mon unique famille. »
Vihan :
> « Ne dis pas ça. »
Sami :
> « Pas besoin de les défendre. Bye. »
Bip. Bip. Bip.
---
Vihan resta figé un moment, le téléphone encore en main.
Vihan (pensées) :
> « Elle ne changera jamais, ma petite sœur. »
« J’ai cru longtemps que mon problème c’était l’argent. J’ai bossé, travaillé sans relâche. Mais cette femme... cette maudite femme me hante. »
« Je la hais… et le pire, c’est qu’elle… qu’elle… »
Un bruit de porte interrompit le fil de ses pensées.
Vihan :
> « Entrez. »
TOXIQUE 🖤
Nouveau chapitre tout les Mardis, Jeudis et Samedis 📖✨
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