Doit-on le faire confiance ? Qui nous dira dans l’avenir qu’on aura pris la bonne décision ?
Tout ceci me désespère.
Merde, j’ai trop mal au cul. J’espère que personne a remarqué la façon dont je marche.
Mais j’y pense, Erwin n’était pas comme les autres fois. Il était... Plus doux, ou c’est moi qui réfléchis trop ? Si c’était le cas, j’ai comme bien apprécié.
...※...
Sa porte est gigantesque, je me sens tellement... inférieur.
Je toquai à sa porte, il ne me répondit pas. Est-il là au moins ?
C’est mieux que je vérifie par moi-même, c’est pas comme si c’est le plus au gradé.
- ERWIN TU ES LÀ ? Dis-je m’introduisant dans son bureau.
- Derrière toi.
Sa tête sur mon épaule droite. Son basin collant contre le mien, je pus sentir son membre. Même sans être en érection, il est gros. Tsk, c’est vexant.
- Dégage. Dis-je le repoussant sans succès.
- Décidément, tu n’es pas drôle.
- Tss.
Il me lâche d’un geste déconcertant et alla s’installer sur sa chaise.
- Tu voulais me dire quoi ?
- Demain, des nouvelles recrues vont rejoindre le bataillon d’exploitation.
- Et tu veux que ça me fasse quoi ? Le Major ici, c’est toi.
- Laisse-moi terminer. Il y a deux amis d’enfance d’Eren Jäger. Et je voudrais que tu les surveilles à l’œil, Je ne le fais pas encore assez confiance. Peut-être qu’il a des espions infiltrés à son commandement.
Il le dit d’un ton tellement sérieux. Trop sexy. Ça me donne envie de le taquiner.
- Alors tu acceptes ? Tu es le seul sur qui je peux compter en ce moment.
- Humm\~ Et mon dû dans tous ça\~ ? Dis-je sensuellement.
Je m’avançai jusqu’à sa hauteur. Je pris délicatement place sur ses genoux, l’embrassant, mordillant sa lèvre inférieure. Je lui laissai des suçons sur son cou, léchant par-dessus.
- Ce n’est pas le moment Livai.
- Tu vas me dire que tu n’en as pas envie ? Demandai-je, le fixant langoureusement en mordillant ma lèvre inférieure.
- Le problème, c’est qu’on la fait hier soir. Je risquerais de te blesser.
- Oooh, je vois, maintenant, tu t’inquiètes pour moi. Faisons le juste le plus rapidement possible. Dis-je.
Je déboutonnai son pantalon, sortant son sexe de son boxeur. Son membre entre mes mains, j’embrassai le bout de son gland. Je le répète encore une fois, il est tellement gros, que J’ai envie de l’engloutir dans ma bouche.
- Livai met le en bouche.
- Je n’en ai pas encore envie.
Je commençai à gifler mes joues avec sa verge si virile et dure, le langeant à chaque extrémité de mes lèvres, laissant pénétrer son entrejambe dans ma bouche, lui offrant une gorge profonde exemplaire à ma personne. Aah ça m’excite.
- Livai, ah… Ta bouche ngh… Est si incroyable et profonde.
- Pénètre-moi, pour qu’ont en finissent maintenant. Dis-je.
Il me regarda avec stupeur quand je déboutonnai ma chemise.
- Tes tétons… Sont gonflés et si… Rougeâtres.
- Quoi ça t’étonne ? C’est à cause de toi, quand tu étais ivre hier soir. Tu t’es juste souvenu de m’avoir défoncé le cul avec ton engin.
- La soirée d’hier soir est très flou. J’en suis désolé. Je t’ai pourtant dit de ne pas rester dans ces conditions, j’aurais pu faire pire.
- pour faire pire, tu l’as fait. Nous avons baisé jusqu’au matin, je t’avoue que je ne s’entais plus tout à fait mon cul.
-…
Son visage fut dépité à ma seule phrase. Je ne compris pas vraiment la tête qu’il a fait en ce moment, mais je sais que je l’ai affecté.
- Quoi ? Me dit pas que ça te fustre.
- En quelque sorte…
-…
La porte résonna par des toquement. Erwin et moi nous regardâmes se demandant quoi.
- Major, je voudrais vous parler quelques minutes.
- Pétra ?! Dis je surpris à voix basse.
- Cache-toi en dessous du bureau. Vite ! Dit-il, chuchotant bouleversé par la situation.
J’exécutai son ordre. Je fis un petit sourire en coin, qu’il comprit extrêmement vite.
- Ne tente rien qui pourrait nous faire prendre.
- Major Erwin, vous êtes là ?
- Vas-y entre, j’étais trop occupé pour t’entendre.
Ça m’excite encore plus de savoir qu’on pourrait nous prendre en flagrant délit.
- Merci. Je sais que vous êtes très proche du caporal-chef...
Il grossit. Lui aussi ça l’excite.
Je veux le mettre en bouche. J’agrippai son sexe dans ma main, l’engouffrant avec lenteur, pour ne pas que mes bruits si obscènes se fasse entendre.
- Le Raah port ?
- Allez vous bien Major ? Vous êtes en sueur et vous rougissez beaucoup des joues.
- Oui t’inquiète pas pour moiaah. Je viens d’avoir une crampe. Tellement que la douleur est forte que j’engh suis devenue rouge et suant.
Ses excuses sont tellement pas crédibles.
- Oui, je peux comprendre, avec l’âge...
- Tout à fait.
Le voir galéré comme ça me réjouit fortement.
Argh. Je peux plus tenir, j’en veux plus, je veux qu’il me remplisse maintenant.
Il me fit un coup de pied en gage d’arrêter. Ce n’est pas ça qui me ferra lâché l’affaire.
Je prends fermement sa verge et lui fait une somptueuse gorge profonde, que j’en fis moi-même choqué.
- Aaah Nghaah mon dos.
- Ça va aller ?
- T’inquiètengh pas pour… Moi, je t’ai dit.
- … O-Oui.
C’est quand qu’elle va partir ?!
- Bon voilà, je voudrais déclarer mes sentiments au caporal-chef. Et je voulais...
Son engin encore en bouche, je le sentis prendre un coup de mou. Je le ressortis, me demandant quoi. J’ai fait quelques choses qui ne fallait pas ?
- Je t’arrête tout de suite, si tu es ici, ce n’ai pas pour trouver ton Roméo.
Donc je te demanderais de rester dans le cadre professionnel.
Son ton a changé, il est plus agressif. C’est lui qui parle ?!
- Excusez-moi, je me suis laissé un peu trop allé. Je vais disposer avec votre approbation.
- Bien.
J’entendis la porte se refermer. C’est pas que tout ça m’a ennuyé, mais ça m’a fait perdre le goût de continuer.
- Tu peux sortir.
- On dirait ça a duré une éternité. Dis-je caressant sa joue malicieusement, prenant place sur son bureau, croissant mes pieds, fixant sa verge.
- Que a-t-elle bien pu dire pour te faire baisser autant ta libido ?
- ...
Serait-ce parce qu’elle a des sentiments pour moi ? Dis-je d’une manière enfantine.
- Tu le sais et tu continues à lui donner des ouvertures ?
- Ça t’apporte quoi ? On est juste des partenaires sexuels. Rien de plus. Souviens-toi, c’est toi-même qui l’a dit.
- Oui je te l’ai dit. Mais maintenant j’ai changé d’avis. Dit-il.
Il se leva, m’enroula de ses longs bras assez bien dessinés, pinça mes joues, avançant mon visage vers le sien, pour m’embraser comme jamais il aurait pu le faire auparavant. Il introduit sa langue dans ma bouche, tournicotant avec une légèreté et une allégresse, qui me fit perdre le peu de souffle qui me restai, nous nous séparâmes avec un filament de bave.
- Pourquoi changer d’avis maintenant ? J’ai quoi d’intéressant que cette femme que tu baissais si bien il y a deux jours n’avait pas ? Dis-je le regardant d’un regard si profond.
- Je ne vois pas de quelle femme tu parles.
- Ne me confonds pas avec les soldats qui goberaient tout ce que tu dis. Je t’ai vue cette soirée-là entrée avec une femme dans ta chambre. Vas pas me dire que c’était pour prendre un café. Parce que…
- C’est parce qu’à part avec toi, je n’arrive pas à bandé. Quand je regarde une femme avec des formes généreuse, je ne ressens rien à part du dégoût et de l’incompréhension. C’est pour ça que j’ai voulu vérifier. Rien ne, c’était passé avec cette femme. Me prendre une gifle par elle, m’a fait comprendre que je repoussais mes sentiments par peur de me faire rejeter par toi. Je te dis maintenant, même si je risque de cassé avec toi indirectement. Je t’ai aimé dès le premier jour de notre rencontre dans cette ville souterraine. Alors s’il te plaît ne me rejette pas. Même si tes sentiments sont pas réciproques, je te promets de te faire tomber sous mon charme.
- Hahaha.
- Pourquoi ris-tu ?
- Si je le dis ça vas faire bof, mais je t’ai toujours aimé des l’instant que nos regards se sont croisés. Je me suis toujours dit que notre relation n’évoluera jais entre nous, parce que, c’est toi qui m’avais dit qu’il n’y aura rien d’autre à par du sexe entre nous. Mais maintenant tu m’as comblé de bonheur, parce que mes sentiments sont réciproques.
Il agrippa mes fesses, m’attirant vers son abdomen. Son cœur bat la chamade pour moi. Une minute de silence prit place dans cette pièce, sans que nos regard se séparèrent. J’ai comme un sentiment de soulagement et de reconnaissance en vers Erwin. Toutes ces années j’ai perdu des proches qui fut important à mes yeux, grâce à lui et ses bons conseils j’ai pu m’en sortir même si c’est en grande partie grâce à l’apprentissage mental que Kenny m’avait forgé pour que je réussisse à me débrouiller seul. Merci Erwin de m’avoir supporté toutes ses années, tu es la seule personne aujourd’hui que je veux dire Je t’aime.
- Je t’aime Levi, de tout mon être.
Cette phase m’a remplie de bonheur. C’est cette phase que je voulais entendre depuis plusieurs mois de sa bouche déjà et enfin comble le trou de vide que je ressentais en moi.
- Moi aussi Je t’aime Erwin Smith.
Je l’embrassai avec ma courte taille de 1.60m.
Je n’ai jamais aimé une personne comme toi, je n’aurais jamais crus qu’une personne comme toi pourrais se lier avec moi. Mon Erwin toi et moi, c’est jusqu’à la mort.
...----------------...
Salut jeune soldat.e 👋🏾
Tout d’abord, j’espère que cette petite fan fiction Eruri ta plus. C’est mon ship préféré dans SNK voilà 🤓(c’était une petite une info croustillante mais t’inquiète 😆😏)
N’hésite pas à laisser des commentaires et à liker ça fait toujours plaisir.
C’est mon premier One Shot. J’avoue j’en suis plus tôt fière 😆😆✨.
Mes fan art préféré. Je vous laisse admirer.
Encore merci d’avoir lu. 👋🏾😘
Doit-on le faire confiance ? Qui nous dira dans l'avenir qu’on a pris la bonne décision ?
Tout ça me désespère.
Merde, j'ai trop mal au cul. J'espère que personne a remarqué la façon dont j'ai marché.
Mais j'y pense, Erwin n'était pas comme les autres fois. Il était... Plus doux, ou c'est moi qui réfléchis trop ?
...※...
Sa porte est gigantesque, je me sens tellement... inférieur.
Je toque à sa porte, il ne me répond pas. Est t'il est là au moins ?
C'est mieux que je vérifie par moi même, c'est pas comme si c'est un au gradé.
- ERWIN TU ES LÀ ?
Dis-je m’introduisant à l’intérieur.
- derrière toi.
Me dit t'il.
Sa tête sur mon épaule droite. Son basin collant contre le mien, je peu sentir son membre. Même sans être en érection, il est gros. Tsk, c'est vexant.
- Dégage.
Dis-je le repoussant sans succès.
- Décidément, tu n’es pas drôle.
- Tss.
Il me lâche d’un geste déconcertant, et alla s'installer sur sa chaise.
- Tu voulais me dire quoi ?
- Demain, des nouvelles recrue vont rejoindre le bataillon.
- Et tu veux que ça me fasse quoi ? Le Major ici c'est toi.
- Il y a deux amis d'enfance d'Éren Jäger. Et je voudrais que tu les surveilles à l'œil, Je le fais pas encore assez confiance. Peut-être qu'ils à des espions infiltrés à son commandement.
Il le dit d'un ton tellement sérieux. Trop sexy. Ça me donne envie de le taquiner.
- Alors tu acceptes ? Tu es le seul sur qui je peux compter en ce moment.
- Humm\~ Et mon dû dans tous ça\~?
Dis-je sensuellement, m’avançant jusqu’à sa hauteur. Je pris délicatement place sur ses genoux, tout t’en embrassant son cou, descendant petit à petit jusqu’à son torse encore chemiser.
- Ce n’est pas le moment Livai.
- J'en ai envie, maintenant\~
Répond je, le fixant langoureusement en mordillant ma lèvre inférieure.
Je déboutonne son pantalon et sorti son sexe de son boxeur. Son membre entre mes mains, embrassant le bout de son gland. Je le répète encore, il est tellement gros, j'ai envie de l'engloutir dans ma bouche.
- On Hngh l'a déjà fait hier soir. Tu risquerais de te blesser.
- Oooh, je vois, maintenant, tu t'inquiètes pour moi.
Je fait des petits mouvements circulaires de haut en bas.
Aah, ça m'excite !
• TOC TOC TOC •
- Major, je voudrais vous parler quelques minutes.
- Petra ?!
Dis je surpris à voix basse.
- Petra ?!
Dis je surpris à voix basse.
- Cache toi en dessous du bureau. Vite !
Me dit-il en chuchotant bouleversé par la situation.
J'exécute son ordre. Je le fait un petit sourir un coin, qu'il compris très vite.
- Ne tente rien qui pourrais nous faire prendre.
- Major Erwin, vous êtes là ?
- Vas-y entre, j'étais trop occupé pour t'entendre.
Ça m'excite encore plus de savoir qu'on pourrais nous prendre en flagrant délit.
- Merci. Je sais que vous êtes très proche du caporal-chef...
Il grossit. Lui aussi sa l'excite.
Je veux le mettre en bouche.
- Le Raah port ?
- Allez vous bien Major ?
Vous êtes tout rouge.
- Oui t'inquiète pas pour moiaah. J'ai eu une crampe, tellement que la douleur était forte que j'engh suis devenue rouge.
C'est excuse son tellement pas crédible.
- Oui, je peux comprendre, avec l'âge...
- Tout à fait.
Le voir galéré comme ça me réjouis fortement.
Argh.
Je peux plus tenir, j'en veux plus, je veux qu'il me remplie maintenant.
Ces coups de pied... Trop mignon. Ce n'est pas ça qui me ferra lâché l'affaire.
Je prends fermement sa verge et lui fait une gorge profonde.
- Nghaah mon dos.
- Ca va aller ?
- T'inquiète pas pour moi je t'ai dit.
- O-Oui.
C'est quand qu'elle vas partir ?!
- Bon voilà, je voudrais déclarer mes sentiments au caporal-chef. Et je voulais...
Tient. Il a pris un coup de mou, il n'est plus dur.
J'ai fait quelques choses qui ne fallait pas ?
- Je t'arrête tout de suite, si tu es ici, ce n'ai pas pour te trouver ton Roméo.
Donc je te demanderais de rester dans le cadre professionnel.
C'est lui qui parle ?! Son ton a changé, il est plus agressif.
- Excuser moi, je me suis laissé un peu trop allé. Je vais disposer avec vôtre approbation.
- Bien.
Tout ça m'a ennuie. J'ai perdu goût.
- Tu peux sortir.
On dirait ça a duré une éternité.
Lui dis-je caressant sa joue malicieusement et pris place à son bureau, croissant mes pieds fixant sa verge.
- Qu'est-ce qu'elle a bien pu dire pour te faire baisser autant ta libido ?
- ...
Serait-ce parce qu'elle a des sentiments pour moi ?
Dis je d'une manière enfantine.
- Tu le sais et tu continue à lui donner des ouvertures ?
- Ça t'apporte quoi ?
On est juste des partenaires sexuel. Rien de plus. Souviens toi, c'est toi qui la dit.
Je me lève, me dirigeant vers la sortie avant de m'arrêter.
- Demain, on fera un nettoyage approfondi de ce château avec l'escouade, j'en peux plus, ça empeste la saleté. Je m'en vais, si c'est tout ce que tu avais à me dire, je m'éclipse.
Dis-je refermant la porte derrière moi, je me mis à marcher vers l'extérieur.
Il faut que je mette les choses au claire avec Petra.
- Aahhh.
J'aime pas la tête qu'il a fait.
Erwin devient de plus en plus chelou. C'est vrai que ce changement soudent... Il y a à peine deux ans, il était hétéro et couchait avec que des femmes. Mais après cette soirée tout a changé. J'ai découvert des nouvelles expressions de lui, qu'il montrait qu'à ces femmes qui baisaient chaque soir.
J'ai toujours su dès mon adolescence que j'avais de l'attirance pour les hommes.
Et j'essayais de le cacher au maximum, mais maintenant, c'est devenue un passe-temps de le faire dans des lieux insolites.
Je ne suis pas vraiment quelqu'un de vierge.
Pour réussir à survivre dans cette basse ville souterraine, j'ai fait la rencontre de Kenny, mon père de coeur, si je puis-je dire.
Il m'a entraîné et enseigné l'art du maniement de couteaux pour que je sache me défendre seul dans ce monde.
Suite à ça, je ne l'ai plus revu. Des fois, je me dit qu'il a dû mourir avec la vielle peau qu'il avait.
Bref, un jour, on a décidé de voler des équipements tridimension nels avec Furlan et Isabel.
Mais je n'aurais jamais pu penser qu'à ce moment, ça aurait changé ma vie.
Car nous fûmes très vite attrapés par son escouade. Je n'avais pas d'autre choix que de capituler pour garantir la survie de mes amis et de cette fâcheuse mission d'infiltration.
Oui, le but principal, c'était l'infiltration dans le bataillon, pour récolter des informations qui nous permettraient de retrouver notre liberté grave à ce bourge.
Je ne le fessais pas réellement confiance, j'avais une envie de meurtre en le regardant.
A ce moment, j'ai compris le sens de ses mots « Ne fait rien que tu le regretterais » Après avoir perdu mes deux meilleurs amis en mission, pris d'assaut par des titans qui les ai à dévorer. Je fus un grand bain de sang Titanesque, en leur mémoire.
Après cet événement, j'ai décidé de me rallier à ça cause stupide.
Le temps passèrent, et plus on devenait proche et plus je le trouvais attirant.
Je savais qu'il s'éclipsait pendant ces jours de repos pour coucher à droite à gauche avec des femmes.
Qui aurait pu croire que le grand major Erwin éloquent, capable d'influencer de nombreuses personnes, se taperait des putes en cachette, dans les coins sombres de Trost pour assouvir ces désirs sexuels.
Même moi, je ne comprends pas comment j'ai pu suivre cette personne, jusqu'à l'observant en plein acte. C'était tellement intense jouissif, que je me suis mis à me branler à mon tour.
Je n'arrivais plus à être en érection sans penser à cette scène. Mais bon, ce n'était pas ça le problème, je voulais qu'il me démonte comme il fessait si bien avec ces putes.
Mais une nuit, quand il a franchi la porte de ma chambre, bourré qu'il l'était, je n'avais pas pu me retenir à la luxure.
Après cette nuit, je m'attendais pas à ce qu'il ne s'en rappelle. Mais la sensation de ses longs doigts fins parcourant mon corps, me procurant de l'excitation, que jamais je n'avais connu au paravent, me laissait dans un piteux êta chaque nuit.
Oui, car ce rituel dura un bon moment, jusqu'à ce qu'il décida d'avouer qu'il n'était pas soûl la première nuit, qu'il n'était pas vraiment sûr de son orientation et qu'il voulait le vérifier avec moi, car il avait remarqué que je le suivais.
Ça ne posait pas de problème, tant que ça remplissait mes pulsions sexuelle, je ne cherchais pas de midi à quatorze heures.
Maintenant, je le trouve de plus en plus agaçant depuis quelque temps. Il n'a plus les mêmes envies qu'auparavant, se comporte de manière protecteur et se soucie de ma santé.
Des fois je me dit qu'il se pourrait qu'il soit tombé amoureux de moi, mais comme lui même la dit « On sera juste des partenaires sexuel, rien de plus. »
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