Le vent soufflait doucement sur le jardin du palais, faisant frémir les branches des cerisiers en fleurs. Sous la lumière pâle de la lune, l’eau du bassin miroitait, troublée par le passage silencieux des carpes. Loin des grandes salles illuminées, un pavillon de bois sculpté se dressait, solitaire et paisible, bercé par le murmure des feuilles. C’est ici que tout commença. Entre devoir et désir, entre tradition et liberté, certains murmures résonnent plus fort que des cris. Et dans l’ombre du pavillon, des cœurs s’apprêtent à basculer.
Les Murmures Du Pavillon Commentaires